Outils pour utilisateurs

Outils du site


dropsy_95

<head> <meta http-equiv="Content-Type" content="text/html; charset=iso-8859-1"> <title>Dropsy 95</title> <link href="../../../CSS/ceacap.css" rel="stylesheet" type="text/css"> <style type="text/css"> <!-- body { margin-left: 10px; margin-top: 10px; background-image: url(../../../images/fond_pages.jpg); background-attachment: fixed; background-repeat: no-repeat; } a { font-family: Geneva, Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 12px; color: #000099; } a:link { text-decoration: none; } a:visited { text-decoration: none; color: #000099; } a:hover { text-decoration: none; color: #ea0000; } a:active { text-decoration: none; color: #000099; } --> </style> <script language="JavaScript" type="text/JavaScript"> <!-- function MM_preloadImages() { //v3.0 var d=document; if(d.images){ if(!d.MM_p) d.MM_p=new Array(); var i,j=d.MM_p.length,a=MM_preloadImages.arguments; for(i=0; i<a.length; i++) if (a[i].indexOf("#")!=0){ d.MM_p[j]=new Image; d.MM_p[j++].src=a[i];}} } //--> </script> <meta name="Author" content="Gilles Murguet - 2005 - info@e-maje.com">   </head>   <body onLoad="MM_preloadImages('../../../images/fond_pages.jpg')"> <table width="624" border="0" align="left" cellpadding="11" cellspacing="0" class="texte"> <tr> <td width="576" align="left" valign="top"><p align="center" class="grand_titre"><a name="haut"></a>NOTE D&rsquo; INFORMATION N&deg; 95</p> <div> <div align="center"><br> <strong class="sous_titre">D O C U M E N T A T I O N</strong> </div> </div> <p>Peu &agrave; peu, le ton monte entre les voisins jusqu'au jour o&ugrave; l'un d'eux se d&eacute;cide<br> &agrave; lib&eacute;rer ses complexes en sollicitant du Tribunal la d&eacute;signation d'un expert.<br> C'est la plus mauvaise fa&ccedil;on de r&eacute;gler le conflit .<br> Jacques ROBINE ( &laquo; Oisivet&eacute;s &raquo; ).</p> <p align="center"><strong class="g_12_rouge">I - LEGISLATION</strong></p> <p><br> <u class="g_12_bleu">1.01 Loi d&rsquo;orientation agricole :</u><br> modifie notamment 1&rsquo;article 16 de la loi du 19-7-1976 sur les installations class&eacute;es<br> (I.C.).<br> Loi n&deg; 99-574 du 9-7-1999. J.O. 10-7-1999 (Moniteur 30-7-1999, p. 307).</p> <p>1.02 I.C. - D&eacute;pollution des sites et des sols :<br> CIM du 2 avril 1999 ( Moniteur 30-7-1999, p. 312 ).</p> <p><u class="g_12_bleu">1.03 Mise en d&eacute;charge des d&eacute;chets :</u><br> Directive 1999/31/CE du 26 avril 1999 du Conseil de l'union europ&eacute;enne.<br> J.O.C.E. 16-7-1999 ( Moniteur 6-8-1999, p. 33 et 284 &agrave; 290 ).<br> 1.04 &laquo; Directive ascenseurs &raquo; n&deg; 95/16/CE du 29 juin 1995 :<br> Suite du Cahier CEA n&deg; 94, &sect; 7.15.<br> Une directive n'est pas un r&egrave;glement. Il y a controverse.<br> Voir &eacute;tude de J. MICHON dans le Moniteur - 30 juillet 1999, p. 33.</p> <p><u class="g_12_bleu">1.05 Ascenseurs neufs :</u><br> Application de l'article 5 de la directive europ&eacute;enne 95/16/CE du 29<br> Juin 1995 - Norme XP 82-511 et XP 82-611 - avril 1999, valables enl'absence de norme harmonis&eacute;e europ&eacute;enne.<br> J.O. 19-6-1999 ( Moniteur 22-9-1995, p. 204 et 25-6-1999, p. 430).<br> Voir aussi CM UHC/QC/12 n&deg; 99-36 du 28 mai 1999 ( Moniteur 2-7-1999, p. 386 ).</p> <p><u class="g_12_bleu">1.06 C.G.I. - TVA - R&eacute;gime simplifi&eacute; d&rsquo;imposition :</u><br> Application des nouvelles mesures fiscales - Instruction du 7 juillet 1999<br> (Moniteur 30-7-1999, p. 328 ).</p> <p><u class="g_12_bleu">1.07 CGI - Forfait TVA - Suppression du r&eacute;gime :</u><br> Am&eacute;nagement du r&eacute;gime de la franchise en base de TVA .<br> Voir Cahier CEA n&deg; 94, &sect; 1.02 ( limite des 175.000 F H.T. ) Instruction du 20<br> juillet 1999.<br> (Moniteur 20-8-1999, p. 227).</p> <p><u class="g_12_bleu">1.08 CGI - Fichier immobilier informatis&eacute; - Bureaux des hypoth&egrave;ques :</u><br> l&egrave;re liste dans AM du 17 septembre 1998. 2&egrave;me liste dans AM du 28 juin 1999, dont PARIS ( 6e, 7e, 9e, 11e bureau ), VERSAILLES (2e bureau ) et<br> NANTERRE ( 1er et 5e bureau ).<br> J.O. 10-7-1999 ( Moniteur 13-11-1998, p. 364 et 3-9-1999, P. 308 )<br> 1.09 CGI - Amortissement &quot; BESSON &quot; - Locations de caract&egrave;re interm&eacute;diaire<br> Instruction du 20 ao&ucirc;t 1999 ( Moniteur 10-9-1999 , p. 339 ).</p> <p><u class="g_12_bleu">1.10 CGI - TVA - Taux r&eacute;duit pour les travaux en habitation :</u><br> Locaux achev&eacute;s depuis plus de deux ans. A compter du 15 septembre 1999 - 5,5 % - jusqu'au 31 d&eacute;cembre 2002.<br> Concerne l'am&eacute;lioration, la transformation et l'entretien des locaux d'habitation, &agrave; l'exclusion du gros &eacute;quipement collectif et des &eacute;quipements sur mesure. Les honoraires de ma&icirc;tre d'&oelig;uvre sur des travaux &agrave; taux r&eacute;duit restent soumis au taux normal.<br> Deux instructions du 14 septembre 1999.<br> (Moniteur 17-9-1999, p. 18 et 339 et 24-9-1999, p. 434 &agrave; 447).</p> <p><span class="g_12_bleu">1.11 Loi d'orientation pour l&rsquo;am&eacute;nagement et le d&eacute;veloppement durable du territoire :</span><br> Loi n&deg; 99-533 du 25 juin 1999.<br> R&eacute;vision de la loi du 4 f&eacute;vrier 1995, de la loi du 30 d&eacute;cembre 1982, de la loi du 2 f&eacute;vrier 1995, du Code de l'Urbanisme ( art. L.111-1-1, L.121-3, L.141-1 ), du Code rural (art. L.161-2 et L. 161-10-1 ). J.O. du 29-6-1999 (Moniteur 9-7-1999, p. 373 &agrave; 380).</p> <p><u class="g_12_bleu">1.12 Enseignement - Cr&eacute;ation du grade de &laquo; mastaire &raquo; :</u><br> Concerne les dipl&ocirc;m&eacute;s d'&eacute;tudes sup&eacute;rieures &agrave; caract&egrave;re scientifique, culturel et<br> professionnel.<br> D&eacute;cret n&deg; 99-747 du 30 ao&ucirc;t 1999 J.O. 2-9-1999 (Moniteur 10-9-1999, p. 364).</p> <p><br> <span class="g_12_bleu">1.13 Code de la Sant&eacute; publique - Saturnisme :</span><br> Voir Cahier CEA n&deg; 87, &sect; 1. 14 ; n&deg; 88, &sect; 3.15 ; n&deg; 92, &sect; 4.06 ; n&deg; 93, &sect; 4.01.<br> Application de la loi d'orientation n&deg; 98-657 du 29 juillet 1998, relative &agrave; la lutte contre les exclusions (art. 123) :<br> - D&eacute;cret n&deg; 99-483 du 9 juin 1999 (art. L-32-1 &agrave; L-32-7).<br> - D&eacute;cret n&deg; 99-484 du 9 juin 1999 (art. 32-8 &agrave; 32-12).<br> Il manque encore 3 arr&ecirc;t&eacute;s d'application (cf &sect; 1.16), mais il semble que l'ensemble des constructions r&eacute;alis&eacute;es jusque vers 1940 soit en cause, bonne affaire pour certains lobbys.<br> Il faut signaler, toutefois, que des g&eacute;n&eacute;rations d'enfants ont d&eacute;j&agrave; v&eacute;cu dans ces locaux, r&eacute;put&eacute;s pr&eacute;sentement &agrave; risques, sans &ecirc;tre intoxiqu&eacute;s par la peinture au plomb.<br> Nulle part, dans ces textes, n'appara&icirc;trait une r&eacute;f&eacute;rence quelconque au mode de vie des occupants, ni aux obligations d'entretien locatif, &agrave; l'a&eacute;ration permanente de ces locaux, &agrave; la n&eacute;cessit&eacute; de nettoyage et de d&eacute;poussi&eacute;rage.<br> En fait, cet entretien est compliqu&eacute; par l'encombrement de ces logements et<br> l'accumulation des objets mobiliers. J.O. 11-6-1999 ( Moniteur 18-6-1999, p. 429).</p> <p><span class="g_12_bleu">1.14 Distribution d'eaux potables - Mat&eacute;riaux utilisables :</span><br> CM n&deg; 99 - 217 du 12 avril 1999.<br> - Voir d&eacute;cret n&deg; 89-3 du 3 janvier 1989 et l'AM du 29 mai 1997, modifi&eacute; le 24 Juin 1998.<br> - CM abrog&eacute;es : n&deg; 94/9 du 25-1-1994 et n&deg; 96/155 du 1-3-1996.<br> (Moniteur 2-7-1999, p. 384 et 6-8-1999, p. 305 &agrave; 314).</p> <p><span class="g_12_bleu">1.15 Appareils individuels de traitement des eaux :</span><br> Suite du &sect; pr&eacute;c&eacute;dent.<br> Dispositions conseill&eacute;es dans l'attente d'une r&eacute;glementation particuli&egrave;re &agrave; l'&eacute;tude ( ?! )... jusqu'&agrave; quand ?<br> CM DSG/VS 4 n&deg; 99-360) du 21 juin 1999 ( Moniteur 6-8-1999, p. 314 ).</p> <p><span class="g_12_bleu">1.16 Saturnisme - Intoxication par le plomb des peintures ( suite du &sect; 1.13) :</span><br> Voir Cahier CEA n&deg; 92, &sect; 4.06 et n&deg; 93, &sect; 4.01 et Cahiers pr&eacute;c&eacute;dents. Voir articles L.32-2, R-32-2, R.32-4, R.32-12 du CSP.<br> Publication de 3 arr&ecirc;t&eacute;s d'application :<br> - AIM du 12 juillet 1999 ( diagnostic du risque d'intoxication par le plomb des<br> peintures ).<br> - AlM du 12 juillet 1999 ( contr&ocirc;le des locaux apr&egrave;s travaux).<br> - AIM du 12 juillet 1999 ( mod&egrave;le de note d'information).<br> J.O. des 31-7, 3-8, 5-8-1999 (Moniteur 13-8-1999, p. 252).</p> <p><span class="g_12_bleu">1.17 Saturnisme (suite) - Mise en &oelig;uvre et financement des moyens d&rsquo;urgence :</span><br> CIM DGS/VS 3 n&deg; 99/533 et UHC/QC/18 n&deg; 99-58 du 30 ao&ucirc;t 1999.<br> (Moniteur 24-9-1999, p. 448).</p> <p><span class="g_12_bleu">1.18 CSP - Interpr&eacute;tation sanitaire des mesures de concentration :</span><br> Voir Cahier CEA n&deg; 93, &sect; 6.05.<br> CM DGS/VS 5 n&deg; 99-289 du 20 mai 1999 (Moniteur 2-.-1999, p. 386).</p> <p><span class="g_12_bleu">1.19 Amiante - Interdiction de son utilisation ( suite ) :</span><br> Directive europ&eacute;enne 1999/77/CE du 26 juillet 1999 (&eacute;ch&eacute;ance au 1-1-2005 ), modifiant la directive 76/769/CE du 27 juillet 1976, appliqu&eacute;e en France depuis le 1-1-1957 par le d&eacute;cret du 24 d&eacute;cembre 1996. (Moniteur 3-1-1997, p. 200 et 17-9-1999, p. 369 ).<br> Nota : Il y a une erreur de num&eacute;ro et de date en t&ecirc;te du Suppl&eacute;ment T.O. Lire n&deg;4999 - 17 septembre 1999, au lieu de n&deg; 4921 - 20 mars 1998.</p> <p><span class="g_12_bleu">1.20 ERP - Modification du r&egrave;glement de s&eacute;curit&eacute; :</span><br> Compl&eacute;ment &agrave; l'article DF 3, applicable &agrave; compter du ler janvier 2000, + abrogation de l'AM du 20 d&eacute;cembre 1996 relatif &agrave; la d&eacute;termination de la surface utile des exutoires de d&eacute;senfumage.<br> AM du 3 mai 1999 - J.O. 3-5-1999 (Moniteur 11-6-1999, p. 437 ).</p> <p><span class="g_12_bleu">1.21 R&eacute;sistance au feu des produits, &eacute;l&eacute;ments de construction et d'ouvrages :</span><br> L&rsquo;AM du 21 avril 1983, modifi&eacute;, est abrog&eacute; et remplac&eacute; par l'AIM du 3 ao&ucirc;t 1999 et 14 annexes, pour permettre la mise en route des nouvelles dispositions europ&eacute;ennes. Il s'agit toujours des classements SF, PF et CF de dur&eacute;e 1/4 H, 1/2H, 3/4 H, 1 H, 1 H 1/2, 2 H, 3 H, 4 H et 6 H.<br> La date d'entr&eacute;e en vigueur n'est pas pr&eacute;cis&eacute;e .<br> Voir &eacute;galement ce Cahier &sect; 6.02 .<br> J.O. 11-9-1999 ( Moniteur 24-9-1999, p. 452 ).</p> <p><span class="g_12_bleu">1.22 C.U.- Aire de stationnement - Non r&eacute;alisation :</span><br> Voir Cahier CEA n&deg; 94, &sect; 1.11.<br> Revalorisation annuelle - art. L. 421-3 Tableau r&eacute;capitulatif du 7 janvier 1986 au 31 octobre 2000.<br> CM n&deg; 99-79 - UHC/DU/24 du 26 octobre 1999 (Moniteur 5-11-1999, p. 387).</p> <p><span class="g_12_bleu">1.23 C. U. - Calcul de la surface hors-oeuvre - Surfaces non closes en rez-de-chauss&eacute;e :</span><br> Art. L.112-7 et R.112-2.<br> La pose d'une grille amovible, par exemple, suffit &agrave; consid&eacute;rer comme &laquo; close &raquo; ladite surface, d'o&ugrave; P.C. pour ce faire . Modification de CM 81/100 du 18-11-1981 et 90/80 du 12-11-1990 .<br> CM n&deg; 99-49 UHC/DU du 27 juillet 1999 (Moniteur 6-8-1999, p. 291 ).</p> <p><span class="g_12_bleu">1.24 CCH - Termites et insectes xylophages :</span><br> Loi n&deg; 99-471 du 8 juin 1999 = diverses dispositions et art. L.133-1 , L.133-3 et L.112-7 ajout&eacute;s au CCH.<br> Sera compl&eacute;t&eacute;e par divers d&eacute;crets.<br> J.O. 9-6-1999 (Moniteur 18-6-1999, p. 428 + REEF).</p> <p><span class="g_12_bleu">1.25 CCH - Caract&eacute;ristiques des habitations et modalit&eacute;s d'application :</span><br> Art. R.111-4 = R&egrave;gles g&eacute;n&eacute;rales de construction, applicables &agrave; partir du 1-1-2000 ( date de d&eacute;p&ocirc;t de demande) : PC b&acirc;timents neufs, sur&eacute;l&eacute;vations et additions de b&acirc;timents anciens.<br> 2 AIM du 30 juin 1999 concernant les caract&eacute;ristiques acoustiques et le classement des locaux d'habitation et abrogeant les deux AIM du 28 octobre 1994, en vigueur jusqu'au 31-12-1999.<br> J.O. 17-7-1999 (Moniteur 23-7-1999, p. 8 et 384 ).<br> 1.26 Loyers - Loi de 1948 - au 1-7-1999 :<br> Cf Cahier n&deg; 93, &sect; 1.11.<br> D&eacute;cret n&deg; 99-548 du ler juillet 1999 J.O. 2-7-1999 (Moniteur 9-7-1999, p. 394).</p> <p><span class="g_12_bleu">1.27 CCH - Loyer maximum des logements conventionn&eacute;s :</span><br> Art. 351-2 - Circulaire d'application : CM n&deg; 99-46/UHC/DH du 7 juillet 1999<br> (Moniteur 23-7-1999, p. 343).</p> <p><span class="g_12_bleu">1.28 Loyers en r&eacute;gion parisienne - Evolution de certains loyers :</span><br> Voir Cahier CEA n&deg; 93, &sect; 1.12.<br> A compter du 30 ao&ucirc;t, d&eacute;cret n&deg; 99-730 du 26 ao&ucirc;t 1999 reconduisant les mesures d'encadrement des hausses de loyers dans le secteur priv&eacute; &agrave; Paris et r&eacute;gion parisienne.<br> J.O. 27-8-1999 (Moniteur 3-9-1999, p. 308).</p> <p><span class="g_12_bleu">1.29 CCH - HLM - revalorisation des plafonds de ressources :</span><br> Nouvelle modification de l'annexe 1 de l'arr&ecirc;t&eacute; du 29 juillet 1987 Application des articles L.351-2 (3&deg;), L.441-1, L.472-1, B-331-12 et R.441-1 (1&deg;) du CCH &ndash; AIM du 13 ao&ucirc;t 1999.<br> J.O. 25-8-1999 (Moniteur 3-.9-1999, p. 309).</p> <p><span class="g_12_bleu">1.30 Droit de bail - Nouvelles dispositions :</span><br> Instruction du 27 septembre 1999 (Moniteur 22-10-1999, p. 406).<br> 1.3l Tribunaux de Commerce - Suppression au 1er janvier 2000 :<br> Dans le ressort des Cours d'appel d' AMIENS, BOURGES, CAEN, DIJON,<br> MONTPELLIER, POITIERS, RIOM, ROUEN - 36 tribunaux sont supprim&eacute;s et<br> regroup&eacute;s.<br> D&eacute;cret n&deg; 99-659 du 30 juillet 1999.<br> J.O. 31-7-1999 (Moniteur 24-9-1999, p. 424).</p> <p><span class="g_12_bleu">1.32 Chambres fun&eacute;raires - Prescriptions techniques :</span><br> D&eacute;cret n&deg; 94-1118 du 20 d&eacute;cembre 1994 abrog&eacute; et remplac&eacute; par d&eacute;cret n&deg; 99-662 du 28 juillet 1999. J.O. 3-7-1999 (Moniteur 20-8-1999, p. 245).<br> 1.33 Gaz - R&eacute;glementation &agrave; l'int&eacute;rieur des habitations :<br> Les articles 2 bis, 4, et l'annexe I de l'AIM du 15 juillet 1980 (REEF) sont modifi&eacute;s par AM du 13 juillet 1999.<br> Ces arr&ecirc;t&eacute;s sont pris en application de l'article 4 de l'AIM du 2 ao&ucirc;t 1977, modifi&eacute;.<br> J.O. 31-7-1999 (Moniteur 20-8-1999, p. 245).</p> <p><span class="g_12_bleu">1.34 Co&ucirc;t du cr&eacute;dit au 2e trimestre 1999 et taux de l'usure &agrave; compter du ler juillet 1999 :</span><br> Voir Cahier n&deg; 93, &sect; 1.21. Avis paru au J.O. du 17-6-1999 (Moniteur 2-7-1999, p. 364).</p> <p><span class="g_12_bleu">1.35 Indice des prix &agrave; la consommation :</span><br> A partir de janvier 1999, indice de base 100 en 1998.<br> Avis paru au J.O. du 29-6-1999 (Moniteur 2-7-1999, p. 386).<br> 1.36 Co&ucirc;t du cr&eacute;dit <strong>- </strong>3e trimestre 1999 et usure &agrave; compter du 1-10-1999 :<br> Voir Cahier CEA n&deg; 94, &sect; 1.05<br> Avis publi&eacute; au J.O. du 16-9-1999 (Moniteur 1-10-1999, p. 411).</p> <p><span class="g_12_bleu">1.37 G&eacute;om&egrave;tres-experts - Modification du code des devoirs professionnels :</span><br> Dans le d&eacute;cret n&deg; 96-478 du 31 mai 1996, les mots &laquo; de l'architecture &raquo; sont<br> remplac&eacute;s par &laquo; de l'urbanisme &raquo;.<br> D&eacute;cret n&deg; 99-739 du 27 ao&ucirc;t 1999.<br> J.O. 31-8-1999 (Moniteur 10-9-1999, p. 364).</p> <p><span class="g_12_bleu">1.38 Terminologie - emploi de la langue fran&ccedil;aise :</span><br> Lire deux circulaires n&deg; 99-39 et 99-40 du 28 septembre 1999, au titre de<br> l&rsquo;Equipement et de la Culture... et le &sect; 5.10 de ce Cahier ! ( Moniteur 15-10-1999, p. 394).</p> <p><span class="g_12_bleu">1.39 Etat de catastrophes naturelles :</span><br> Suite du Cahier n&deg; 94, &sect; 1.37<br> - Arr&ecirc;t&eacute;s des 1-4-1999 ; 19-5-1999 ; 22-6-1999 ; 21-7-1999 ; 29-9-1999.<br> - J.O. des 2.-5-1999 ; 5-6-1999 ; 14-7-1999 ; 24-8-1999 ; 20-10-1999.Moniteur des 11-6-1999, p. 429 et p. 431 ; 23-7-1999, p. 380 ; 3-9-1999, p. 333 et 29-10-1999, p. 467.</p> <p><span class="g_12_bleu">1.40 -Handicap&eacute;s - Voirie publique ou priv&eacute;e ouverte &agrave; la circulation publique :</span><br> Application de l'article 2 de la loi n&deg; 91-663 du 13 juillet 1991.<br> - D&eacute;cret n&deg; 99-756 du 31 ao&ucirc;t 1999.<br> - AIM du 31 ao&ucirc;t 1999 - sp&eacute;cifications techniques.<br> - D&eacute;cret n&deg; 99-757 du 31 ao&ucirc;t 1999, abrogeant les d&eacute;crets des 1-2-1978 et 9-12-1978, sauf article 4 et titre III.<br> Observation : le d&eacute;cret n&deg; 78-109 du 1-2-1978 avait d&eacute;j&agrave; &eacute;t&eacute; abrog&eacute; partiellement au 1-8-1994 par le d&eacute;cret n&deg; 94-86 du 26-1-1994 !<br> J.O. 4-9-1999 (Moniteur 10-9-1999, p. 369).</p> <p><span class="g_12_bleu">1.41 March&eacute;s publics de travaux - CCTG, fascicule 2 - Terrassements g&eacute;n&eacute;raux :</span><br> D&eacute;cret n&deg; 99-98 du 25 f&eacute;vrier 1999 - Voir Cahier CEA n&deg; 94, &sect; 1.34. Circulaire minist&eacute;rielle n&deg; 99-26 du 6 avril 1999 (Moniteur 29-10-1999, p. 468 &agrave; 473).<br> 1.42 CMP - March&eacute;s de contr&ocirc;le technique - CCTG :<br> Le d&eacute;cret n&deg; 92-1186 du 30 octobre 1992 reste en vigueur jusqu'au 31 ao&ucirc;t 1999.<br> Le d&eacute;cret n&deg; 99-443 du 28 mai 1999 et ses annexes le remplacent, &agrave; compter du ler septembre 1999.<br> J.O. 1-6-1999 (REEF - mise &agrave; jour 99.3).</p> <p><span class="g_12_bleu">1.43 C-civ. - March&eacute;s priv&eacute;s - Seuil de garantie de paiement :</span><br> Art. 1799-1 et loi n&deg; 95-96 du ler f&eacute;vrier 1995.<br> Se reporter au Cahier n&deg; 94 &sect;&sect; 2.25 et 2.26.<br> Seuil fix&eacute; &agrave; 79.000 F H.T. et &agrave; 12.000 euros &agrave; compter du ler janvier 2002. D&eacute;cret N&deg; 99-658 du 30 juillet 1999 (Moniteur 6-8-1999, p. 292).</p> <p><span class="g_12_bleu">1.44 CAP et brevets professionnels - Cr&eacute;ations :</span><br> Peinture - rev&ecirc;tements ; Gestion des d&eacute;chets et propret&eacute; urbaine ; Pl&acirc;trerie et plaque ; M&eacute;tiers de la pierre ; Professions immobili&egrave;res ; Chaudronnerie ;<br> Structures m&eacute;talliques.<br> Voir 7 AM du 21 octobre 1999.<br> J.O. 29-10-1999 (Moniteur 5-11-1999, p. 403).<br> 1.45 Ecoles d'architecture - Personnels enseignants associ&eacute;s ou invit&eacute;s :<br> Le d&eacute;cret n&deg; 93-368 du 12 mars 1968 est modifi&eacute; par le d&eacute;cret n&deg; 99-923 du 27 octobre 1999 sur les points concernant les enseignants associ&eacute;s ou invit&eacute;s.<br> J.O. 31-10-1999 (Moniteur 7-5-1999, p. 254 + 12-11-1999, p. 375).</p> <p align="center" class="sous_titre"><strong>II &ndash; JURISPRUDENCE</strong></p> <p><span class="g_12_bleu">2.01 - ZAC et am&eacute;nagement :</span><br> La participation financi&egrave;re vers&eacute;e &agrave; la ville par l'am&eacute;nageur doit servir<br> exclusivement &agrave; financer des &eacute;quipements publics situ&eacute;s &agrave; l'int&eacute;rieur de l'&icirc;lot.<br> C.E., cit&eacute; dans Affiches parisiennes, 26/28-5-1999, p. 4.</p> <p><span class="g_12_bleu">2.02 CVR - Voirie communale - R&eacute;paration de dommages :</span><br> caus&eacute;s par un entrepreneur, en d&eacute;chargeant des mat&eacute;riaux.<br> Comp&eacute;tence des tribunaux judiciaires, en application de l'article L.116-1 du Code de la voirie routi&egrave;re.<br> Tribunal : des conflits - 15 mars 19999 ( Affiches parisiennes, 1 et 2-6-1999).</p> <p><span class="g_12_bleu">2.03 C.U. - Affichage comportant une l&eacute;g&egrave;re erreur (hauteur de la construction) :</span><br> Art. L.421-39 - Cahier CEA n&deg; 91, &sect;&sect; 1.04 + 2.03 et . n&deg; 92, &sect; 1,40.<br> Une erreur ou omission, alors que le panneau d'affichage comporte les indications pr&eacute;cises permettant d'identifier le permis, ne fait pas obstacle au d&eacute;lai de recours contentieux &agrave; l'&eacute;gard des tiers. C.E. 17 mai 1999, n&deg; 172918 (Moniteur 4-6-1999, p. 65).</p> <p><span class="g_12_bleu">2.04 C-U. - Permis de construire d'un ensemble de 49 logements, &agrave; 65 m d'un &eacute;levage de bovins :</span><br> Permis annul&eacute;. L'article R.111-2 est &agrave; double sens. Il doit aussi consid&eacute;rer les<br> nuisances que subiraient les futurs occupants du b&acirc;timent, implant&eacute; trop pr&egrave;s d&rsquo;un &eacute;levage de bovins pr&eacute;existant. Atteinte &agrave; la salubrit&eacute; publique (<strong>*</strong>).<br> C.E. 16 juin 1999, n&deg; 188816 (Moniteur 1-10-1999, p. 60).</p> <p><span class="g_12_bleu">2.05 Entrepreneur et devoir de conseil - Pas de ma&icirc;tre d'&oelig;uvre :</span><br> D&egrave;s que l'entrepreneur agit seul, son obligation envers le ma&icirc;tre de l'ouvrage est plus &eacute;tendue ; elle lui impose &eacute;galement d'informer le ma&icirc;tre de l'ouvrage des cons&eacute;quences de ses propres choix.<br> C.cass. 3e Ch. civ. 17 mars 1999, n&deg; 509 D (Moniteur 11-6-1999, p. 73).</p> <p><span class="g_12_bleu">2.06 Provisions allou&eacute;es - obligation de r&eacute;&eacute;valuation :</span><br> Lorsque le co&ucirc;t d&eacute;finitif du pr&eacute;judice est &eacute;tabli, les comptes de liquidation doivent tenir compte de la r&eacute;&eacute;valuation des provisions vers&eacute;es auparavant .<br> C.cass. 3e Ch. civ. 31 mars 1999, n&deg; 625 P+B ( Moniteur 11-6-1999, p. 73).</p> <p><span class="g_12_bleu">2.07 Devoir de conseil de l'architecte :</span><br> Ce devoir ne s'applique ni aux faits qui sont connus de tous, ni aux r&egrave;gles<br> juridiques qu'un professionnel (le promoteur) devait conna&icirc;tre. Toutefois,<br> l'architecte doit veiller &agrave; l'observation des prescriptions l&eacute;gislatives et r&eacute;glementaires applicables aux travaux, dans la limite de la faute commise par le ma&icirc;tre de l'ouvrage (d&eacute;faut d'agr&eacute;ment du sous-traitant).<br> C.cass. 3e Ch. civ. 14 avril 1999, n&deg; 692 P+B ( Moniteur 9-7-1999, p. 51).<br> (<strong>*</strong>) Dans le m&ecirc;me sens, voir art. 14 de la loi du 19 juillet 1976 (Installations class&eacute;es).</p> <p><span class="g_12_bleu">2.08 Risques pris d&eacute;lib&eacute;r&eacute;ment par le ma&icirc;tre de l'ouvrage :</span><br> Voir Cahier CEA n&deg; 87, &sect; 2.03.<br> Refus d'&eacute;tablissement d'une &eacute;tanch&eacute;it&eacute; sur dalle par &eacute;conomie, malgr&eacute; signalement du bureau de contr&ocirc;le. Ma&icirc;tre d'ouvrage non notoirement comp&eacute;tent. L'assurance n'a pas, a posteriori, &agrave; compenser l'&eacute;conomie. Pas de faute de l'architecte (responsabilit&eacute; non engag&eacute;e).<br> C.cass. 3e Ch.civ. 9 juin 1999, n&deg; 1012 P (Moniteur 22-10-1999, p. 73).</p> <p><u class="g_12_bleu">2.09 Sous-traitant de second rang :</u><br> Le sous-traitant d'un sous-traitant doit &eacute;galement &ecirc;tre agr&eacute;&eacute; par le ma&icirc;tre d'ouvrage.<br> C.cass. 3e Ch. civ. 31 mars 1999, n&deg; 753 D (Moniteur 24-9-1999, p. 99).<br> 2.10 Sous-traitant - acceptation et agr&eacute;ment des conditions de paiement :<br> La simple connaissance du sous-traitant par le ma&icirc;tre de l'ouvrage est insuffisante pour caract&eacute;riser son acceptation, ni l'agr&eacute;ment des conditions de paiement.<br> C.Cass. 3e Ch. civ. 23 juin 1999, n&deg; 1029 D (Moniteur 24-9-1999, p. 99).</p> <p><span class="g_12_bleu">2.11 March&eacute;s Priv&eacute;s - P&eacute;nalit&eacute;s de retard - Pas de mise en demeure n&eacute;cessaire :</span><br> Si pr&eacute;vues au contrat, les p&eacute;nalit&eacute;s d&eacute;marrent &agrave; la date pr&eacute;vue (&eacute;ventuellement corrig&eacute;e), sans mise en demeure particuli&egrave;re, et malgr&eacute; le placement en r&egrave;glement judiciaire de l'entrepreneur.<br> C.cass. 3e Ch. civ. 9 juin 1999, N&deg; 1011 P (Moniteur 22-10-1999, p. 73).</p> <p><span class="g_12_bleu">2.12 Chambre meubl&eacute;e :</span><br> Une location ne peut &ecirc;tre qualifi&eacute;e de meubl&eacute;e que lorsque le local est suffisamment pourvu de meubles et d'&eacute;quipements m&eacute;nagers courants pour dispenser le locataire d'am&eacute;nager le local par ses propres moyens.<br> T.I. PARIS - 19 d&eacute;cembre 1995, n&deg; 2216/95 - 7, passage Lepeu 75011 - PARIS.</p> <p><span class="g_12_bleu">2.13 Ascenseur - Porte pali&egrave;re non verrouill&eacute;e - Accident mortel par chute dans la cage :</span><br> Cabine &agrave; un autre niveau. Il y a obligation de r&eacute;sultat pour l'entrepreneur d'entretien, et non obligation de moyens. Donc la preuve de la faute de l'entrepreneur n'a pas &agrave; &ecirc;tre rapport&eacute;e.<br> Obligation de s&eacute;curit&eacute; vis-&agrave;-vis des utilisateurs.<br> C.cass. l&egrave;re Ch. civ. 15 juillet 1999 (Affiches parisiennes, n&deg; 113, p.3).</p> <p><span class="g_12_bleu">2.14 Quittances de loyer :</span><br> Obligation l&eacute;gale &agrave; valeur lib&eacute;ratoire (d&eacute;tail des sommes vers&eacute;es, en distinguant le loyer, le droit au bail et les charges ) jusqu'&agrave; la fin du contrat, ou &agrave; la date d'acquisition de la clause r&eacute;solutoire. La r&eacute;solution du bail n'a d'effet que pour l&rsquo;avenir.<br> C.cass. 3e Ch. civ. 17 novembre 1998 (ADMINISTRER, &deg; 314, p. 55).</p> <p><span class="g_12_bleu">2.15 Rampe int&eacute;rieure de parc de stationnement couvert inutilisable :</span><br> Ouvrage re&ccedil;u sans r&eacute;serve, mais rampe inutilisable pour v&eacute;hicules de dimensions courantes.<br> L'erreur de conception de l'architecte est un vice de construction affectant l'ouvrage, et non un d&eacute;faut de conformit&eacute; relevant de la responsabilit&eacute; contractuelle.<br> C.cass. 3e Ch. civ. 9 juin 1999, n&deg; 1018 P+B (Moniteur 22.10.1999, p. 73).</p> <p><span class="g_12_bleu">2.16 C.civ. - art. 1792-1 - Vente concernant un b&acirc;timent achev&eacute; :</span><br> Condition obligatoire, ou bien la vente est en l'&eacute;tat futur d'ach&egrave;vement.<br> C.cass. 3e Ch. civ. 9 juin 1999, n&deg; 1028 P+B (Moniteur 22-10-1999, p. 73).<br> 2.17 Salari&eacute;s - Re&ccedil;u pour solde de tout compte :<br> Le re&ccedil;u doit obligatoirement porter la date de la signature, &agrave; peine de ne pas avoir d'effet lib&eacute;ratoire, pour le d&eacute;lai de 2 mois.<br> C.cass. 3e Ch. civ. 19 mai 1999, n&deg; 2327 P (Moniteur 10-9-1999, p. 53).</p> <p><span class="g_12_bleu">2.18 Avocat frapp&eacute; d'une interdiction temporaire d'exercer :</span><br> Son nom doit rester au tableau. L'omission au tableau est soumise aux seules conditions de l&rsquo;article 10 du d&eacute;cret du 27 novembre 1991. L'interdiction conserve &agrave; celui qui en est frapp&eacute; sa qualit&eacute; d'avocat, et le Cabinet de ce dernier continue de fonctionner.<br> C.cass. civ. I - 15 juin 1999 (Affiches parisiennes n&deg; 101, p. 4).</p> <p><span class="g_12_bleu">2.19 C.U. - Article L.600-3 - Recours - Notifications :</span><br> Voir Cahier CEA n&deg; 85, &sect; 1.07 et n&deg; 86, &sect; 105.<br> Doivent intervenir dans les 15 jours du recours contentieux &agrave; l'&eacute;gard de l'auteur de l'acte attaqu&eacute; et de son b&eacute;n&eacute;ficiaire. Valable &eacute;galement pour permis de d&eacute;molir, ou tout acte relatif &agrave; l'occupation ou &agrave; l&rsquo;utilisation du sol.<br> C.E. 24 septembre 1999, n&deg; 169251 &agrave; 253 (Moniteur 22-10-1999 p. 75).</p> <p><span class="g_12_bleu">2.20 Soci&eacute;t&eacute; de nettoyage de locaux - Personnel :</span><br> Le personnel est attach&eacute; aux locaux et non &agrave; l'entrepreneur. En cas de changement de prestataire, le nouveau doit reprendre le personnel de l'ancien ( convention collective des entrepreneurs de propret&eacute; )<br> C.cass. Ch. soc. 12 juillet 1999, n&deg; 3350 PB (Moniteur 5-11-1999, p. 72).</p> <p><span class="g_12_bleu">2.2l C.U. - Permis de construire - Annulation du POS :</span><br> POS modifi&eacute; pour permettre de r&eacute;aliser une op&eacute;ration . Permis de construire accord&eacute;. Mais modification du POS annul&eacute;e. Le permis de construire, devenu ill&eacute;gal, est &eacute;galement annul&eacute;, puis-qu'il ne correspond pas au POS avant modification.<br> C.E. 28.7.1999, n&deg; 137 246 (Moniteur 12-11-1999, p. 61).</p> <p align="center" class="sous_titre"><strong>III &ndash; TECHNIQUE</strong></p> <p><span class="g_12_bleu">3.0l Amiante - Listes des entreprises qualifi&eacute;es pour le traitement :</span><br> De QUALIBAT et de l'AFAC-ASCERT INTERNATIONAL - Qualification 1513<br> cf Cahier CEA n&deg; 94, &sect; 1.28<br> (Moniteur 1-10-1999, p. 399 &agrave; 404, 409 et 410).</p> <p><span class="g_12_bleu">3.02 QUALIBAT - Entreprises certifi&eacute;es &laquo; assurance qualit&eacute; &raquo; :</span><br> Cf Cahier CEA n&deg; 94, &sect; 3.03.<br> Liste ler et 2e trimestres 1999.<br> (Moniteur 13-8-1999, p. 238 &agrave; 251).</p> <p><span class="g_12_bleu">3.03 CSTB - Garde-corps en produits verriers :</span><br> Consid&eacute;r&eacute;s comme non traditionnels.<br> Voir Cahier du CSTB - Livraison 388 - avril 1998 - Cahier 3034 - ATec &eacute;tabli par le Groupe n&deg; 2.<br> Revue &laquo; Verre feuillet&eacute; &raquo;, n&deg; 21 - juin-juillet 1999 - derni&egrave;re page.</p> <p><span class="g_12_bleu">3.04 CSTB - Cahier 400 - juin 1999 :</span><br> Amendements aux DTU 60.2. , 63.1 , 65-10.<br> ATec encapsulage des flocages &agrave; base d'amiante.</p> <p><span class="g_12_bleu">3.05 Etanch&eacute;it&eacute; liquide de surface pour sols - Seigneurie :</span><br> Voir aussi Cahier CEA n&deg; 93, &sect; 3.09.<br> Produit nouveau (Moniteur 2-7-1999, p. 61).<br> 3.06 Boisseaux 20 x 40 pour conduits de fum&eacute;e :<br> La norme NF P 51-311 - septembre 1988 - pr&eacute;voit, dans les dimensions pr&eacute;f&eacute;rentielles, des boisseaux rectangulaires dans la proportion de 1 &agrave; 2 <em>( </em>20 x 40 cm ). On est loin de la proportion maximale &laquo; r&eacute;glementaire &raquo;, de 1 &agrave; 1,6, pr&eacute;vue par les r&egrave;gles g&eacute;n&eacute;rales de construction (art. 6 de l'AIM du 22 octobre 1969) et par l'article 10 de l'ordonnance de police du 5 mai 1975 !<br> O&ugrave; est la v&eacute;rit&eacute; ? Qui dort ? Voir aussi Cahier CEA n&deg; 91, &sect; 6.07.</p> <p><span class="g_12_bleu">3.07 Classement des r&eacute;actions et r&eacute;sistance au feu - Homologation de mat&eacute;riaux et &eacute;l&eacute;ments :</span><br> PV &eacute;tablis du ler juillet au 30 septembre 1999.<br> Liste n&deg; 95 - J.O. 13-10-1999.<br> Voir Cahier CEA n&deg; 93, &sect; 3.04.</p> <p><span class="g_12_bleu">3.08 CT - Acc&egrave;s en hauteur pour travaux - Mat&eacute;riel utilis&eacute; :</span><br> Voir Cahier n&deg; 90, &sect; 6.02.<br> Le nouvel article R.233-13-3 entre en vigueur le ler janvier 2000.<br> (Moniteur 29-10-1999, p. 149).</p> <p><span class="g_12_bleu">3.09 Ravalement :</span><br> Renseignements fournis par notre confr&egrave;re Fran&ccedil;ois VIROLLEAUD sp&eacute;cialiste<br> des ravalements :<br> <em>Gommage </em>: Brevet d&eacute;pos&eacute; par Thomann Hanry, concernant un processus complet de nettoyage + nacelle aspirante.<br> <em>Microfinage </em>: Technique actuelle de m&ecirc;me nature, pratiqu&eacute;e par voie s&egrave;che ou voie humide avec poudres de diverses origines ou granulom&eacute;tries (cf ci-dessous).<br> <em>Sablage </em>: Technique ancienne utilisant du sable, remplac&eacute; par le microfinage avec poudres &agrave; plus faible granulom&eacute;trie ( poudre de verre, de quartz, de carbonate de calcium, de silicate d&rsquo;aluminium, etc ). Pression variable de 0,3 &agrave; 0,5 bar pour le nettoyage fin de mod&eacute;nature et de 0,8 &agrave; 2 bars pour surfaces plates. Poudres de 500 &agrave; 200 microns. L'eau a pour raison de fixer la poussi&egrave;re ( Inspection du travail).<br> <em>Microfine </em>: Terme commercial, d&eacute;pos&eacute; par SOVITEC en 1987, pour d&eacute;signer des grains de verre finement broy&eacute; et tamis&eacute;. La microfine est exempte de silice libre.</p> <p><span class="g_12_bleu">3.10 Eau chaude sanitaire - temp&eacute;rature :</span><br> Le CSTB conseille de remonter &agrave; 70 &deg;C la temp&eacute;rature de l'eau chaude dans le g&eacute;n&eacute;rateur, puis de la ramener &agrave; 50 &deg;C dans le r&eacute;seau de distribution g&eacute;n&eacute;rale, par un mitigeur-pilote bloqu&eacute; &agrave; cette temp&eacute;rature (destruction de bact&eacute;ries).<br> (Moniteur 5-1l-1999, p. 119).</p> <p><span class="g_12_bleu">3.1l Sols plastiques - Charges &eacute;lectrostatiques :</span><br> N&eacute;cessit&eacute; de pr&eacute;voir<strong>, </strong>lors de la pose, un r&eacute;seau de captage des charges, avec mise &agrave; la terre, si pr&eacute;sence d'&eacute;quipements &eacute;lectroniques dans les locaux.<br> (Voir fiche technique dans le Moniteur 12-11-1999, p. 83).</p> <p align="center" class="sous_titre"><strong>IV - BIBLIOGRAPHIE ET PUBLICATIONS</strong></p> <p><span class="g_12_bleu">4.01 Moniteur sur Internet :</span><br> Compl&eacute;ment du Cahier CEA n&deg; 94, &sect; 4.12.<br> Possibilit&eacute; de consulter les num&eacute;ros du Moniteur depuis le ler janvier 1997, y<br> compris les textes officiels, cit&eacute;s dans les Cahiers de la Compagnie, sous r&eacute;f&eacute;rence<br> &laquo; Moniteur &raquo;.</p> <p><span class="g_12_bleu">4.02 March&eacute;s priv&eacute;s - Pratique du &laquo; tour d'&eacute;chelle &raquo; :</span><br> Article de P. STEPHAN - Moniteur 4-6-1999, p. 62.</p> <p><u class="g_12_bleu">4.03 Bateaux occup&eacute;s en habitation flottante :</u> <br> Contraintes d'ordre juridique ou financier.<br> Article de G. ARZUL, dans le Moniteur du 13 ao&ucirc;t 1999, p. 37</p> <p><u class="g_12_bleu">4.04 Fiches du Moniteur : suite du Cahier n&deg; 94, &sect; 4.08</u><br> - Abus de biens sociaux 23-07-1999, p. 34<br> - Appel d'offre infructueux 25-06-1999, p. 53<br> - Arbitrage 16-07-1999, p. 35<br> - Cautions - mode d'emploi 11-06-1999, p. 27<br> - Chaufferies - Audit (<strong>*</strong>) 11-06-1999, p. 97<br> - Communaut&eacute; urbaine 15-10-1999, p. 65<br> - Constructibilit&eacute; limit&eacute;e - urbanisme 08-10-1999, p. 67<br> - Corrosion de l'eau - protection 01-10-1999, p. 94<br> - Coupe et abattage d'arbres 13-08-1999, p. 38<br> - Crit&egrave;res additionnels en appel d'offres 20-08-1999, p. 34<br> - D&eacute;chets - Cahier sp&eacute;cial environnement 17-09-1999 -<br> - D&eacute;tection - intrusion 21-09-1999, p. 135<br> - Empi&egrave;tement de construction 28-05-1999, p. 59<br> - EURL 02-07-1999, p- 47<br> - Etablissements de sant&eacute; - hygi&egrave;ne 22-10-1999, p. 111<br> - Fiscalit&eacute; des petites entreprises 03-09-1999, p. 40<br> - March&eacute;s publics - pi&egrave;ces constitutives 09-07-1999, p. 54<br> - March&eacute;s publics - rejet d'un entrepreneur 10-09-1999, p. 48<br> - POS - conditions de r&eacute;vision 24-09-1999, p. 105<br> - Privil&egrave;ges mobiliers et immobiliers 30-07-1999, p. 34<br> - SARL - S'associer dans ce type de soci&eacute;t&eacute; 05-11-1999, p. 65<br> (<strong>*</strong>) 2e paragraphe - Inexact : ce sont les r&egrave;gles d'am&eacute;nagement en vigueur <strong>au moment </strong>(Am&eacute;nagement) <strong>du lancement de la consultation</strong>, et non celles &agrave; la date de livraison de l'ouvrage.</p> <p><span class="g_12_bleu">4.05 REEF - CSTB :</span><br> - Mise &agrave; jour S 116/99-2, re&ccedil;ue 17-7-1999.<br> Voir Cahier CEA n&deg; 94, &sect; 4.05<br> - Nouveau tome Classe S, et notamment :<br> . Mesurage de l'isolation acoustique des immeubles<br> . SSI<br> . VEC 6 GS n&deg; 2<br> . Encapsulage de l'amiante - GS n&deg; 7<br> . Chauffage par le sol - P 52-400 - 1 &agrave; 3<br> . Gaz - derni&egrave;re &eacute;dition AIM 2-8-1977, modifi&eacute;.<br> - Mise &agrave; jour S 117/ 99-3, re&ccedil;ue 22-10-1999 : R.A.S.</p> <p><span class="g_12_bleu">4.06 Label &laquo; PROMOTELEC - confort &eacute;lectrique &raquo; - Habitation :</span><br> Para&icirc;t avoir abandonn&eacute;, pour l'habitation existante, la r&eacute;daction &laquo; installation conforme aux normes &raquo; , ce qui ne voulait pas dire grand chose, compte tenu de l'&eacute;volution permanente des-dites normes, pour &laquo; conformes aux r&egrave;gles de s&eacute;curit&eacute; &raquo;, expression qui viserait surtout l'entretien de l'installation existante, le maintien en &eacute;tat des dispositifs de protection et la suppression des bricolages intempestifs par les occupants. Il est question aussi de ne r&eacute;aliser qu'une &laquo; r&eacute;novation partielle de l'installation &raquo;. Rappelons aussi que si la norme NF C 15-100 a &eacute;t&eacute; rendue obligatoire pour la construction type R.111-1 du CCH par l'AIM du 22 octobre 1969, ce caract&egrave;re obligatoire n'appara&icirc;t viser l'habitat ancien que par le biais des articles 22 et 51 des r&egrave;glements sanitaires d&eacute;partementaux, devenus th&eacute;oriquement caducs depuis 1986, par suppression de base l&eacute;gale ( cf nouvel article L. ler du Code de la Sant&eacute; publique et notamment Cahier CEA n&deg; 94, &sect; 7.09 et n&deg; 87, &sect; 6.01 ).</p> <p><span class="g_12_bleu">4.07 Copropri&eacute;t&eacute; - Transformation d'un lot d'habitation en local professionnel :</span><br> Voir r&eacute;ponse &agrave; question JACQUAT.<br> JOAN 19 avril 1999, p. 2396 (ADMINISTRER - juin 1999, p. 78).</p> <p><span class="g_12_bleu">4.08 Fiscalit&eacute; des loueurs en meubl&eacute; professionnels :</span><br> Voir r&eacute;ponse &agrave; question LESBROS.<br> J.O. S&eacute;nat 15 avril 1999, p. 1255 (ADMINISTRER - juin 1999, p. 81).</p> <p><u class="g_12_bleu">4.09 ADMINISTRER - Suite du Cahier CEA n&deg; 94, &sect; 4.06</u><br> - n&deg; 311 - mai 1999 :<br> . Les charges locatives - loi du 6 juillet 1989 T. Grundeler<br> . ...Une personne couch&eacute;e sur un brancard S. Dropsy<br> . La vente amiable d'un lot de copropri&eacute;t&eacute; A. Boyer<br> - n&deg; 312 - juin 1999 :<br> . Cong&eacute;s pour motif l&eacute;gitime et s&eacute;rieux B . Raclet<br> . Les d&eacute;gagements de secours S. Dropsy<br> - juillet 1999 :<br> . Le pr&eacute;sident du conseil syndical B. Pollin<br> . D&eacute;bouchage, d&eacute;sinsectisation, etc de VO C. Beddeleem<br> . Avances du syndic sur fonds personnels - anomalie P. Capoulade<br> - n&deg; 314 - ao&ucirc;t-septembre 1999 :<br> . Construction sur terrasse en copropri&eacute;t&eacute; J. Barnier et L. Souleau<br> . Le syndic provisoire - avances sur fonds personnels P. Capoulade<br> - n&deg; 315 - octobre 1999 :<br> . Bail commercial - cong&eacute; triennal C. Daumas<br> . Mise aux normes des locaux anciens J. P. Lay<br> . Avances financi&egrave;res du syndic au syndicat P. Capoulade</p> <p><span class="g_12_bleu">4.10 I.C. - Remise en &eacute;tat des sites pollu&eacute;s :</span><br> Voir article dans le Moniteur du 29 octobre 1999, p. 70 et 450.</p> <p align="center" class="sous_titre"><strong>V &ndash; DIVERS</strong></p> <p><span class="g_12_bleu">5.01 Code du travail - Atriums (I.T. no 263 du 30 d&eacute;cembre 1994)</span><br> L'article 14 de l'AIM du 5 ao&ucirc;t 1992, compl&eacute;t&eacute; le 22 septembre 1995, rend<br> obligatoire aux locaux de travail les r&egrave;gles relatives aux atriums... mais les cotes de la r&egrave;gle du C + D n'ont pas &eacute;t&eacute; pr&eacute;cis&eacute;es pour de tels locaux, notamment pour les bureaux ne recevant pas de public.</p> <p><span class="g_12_bleu">5.02 Code du travail - Intervention des services de s&eacute;curit&eacute; ext&eacute;rieurs :</span><br> - L'article R.241-40 modifi&eacute; prescrit simplement une liaison des secours de<br> l'&eacute;tablissement avec les secours d'urgence ext&eacute;rieurs.<br> - L'article R.232-14-1 pr&eacute;voit, depuis 1993, que la commission consultative<br> d&eacute;partementale de la protection civile ( devenue, en 1995, commission<br> consultative d&eacute;partementale de s&eacute;curit&eacute; et d'accessibilit&eacute; PEUT donner un avis au directeur r&eacute;gional du travail, ou au fonctionnaire de contr&ocirc;le assimil&eacute;,<br> APRES enqu&ecirc;te de l'Inspecteur du travail.<br> Les services techniques de s&eacute;curit&eacute; d&eacute;pendant du minist&egrave;re de l'int&eacute;rieur, du<br> pr&eacute;fet de police ou du maire, ne seraient pas habilit&eacute;s &agrave; intervenir directement, en contr&ocirc;le de la r&eacute;glementation dans les locaux de travail, sauf par l'interm&eacute;diaire et sur la demande de l'inspection du travail, pour l'application motiv&eacute;e des textes de s&eacute;curit&eacute; d&eacute;pendant du Code du travail, et non des textes ERP, par exemple.<br> Rappelons &eacute;galement que la comp&eacute;tence des pompiers est strictement limit&eacute;e aux moyens de secours, ainsi qu'il a &eacute;t&eacute; pr&eacute;cis&eacute;, lors du proc&egrave;s de FURIANI.<br> - Enfin, le Code de 1&rsquo;urbanisme n'a toujours pas &eacute;t&eacute; modifi&eacute; pour permettre une intervention MOTIVEE de l'inspection du travail, lors de l'instruction d'une demande de permis de construire, au m&ecirc;me titre, du reste, que pour les ERP de 5e cat&eacute;gorie (CM du 22 juin 1995, art. 1.1.1., b).<br> En cons&eacute;quence, le dossier d&rsquo;am&eacute;nagement PEUT &ecirc;tre envoy&eacute; directement &agrave;<br> l'inspecteur du travail, en tenant compte des prescriptions du Code du travail, notamment chapitres L et R 232 et 235, si le ma&icirc;tre de l&rsquo;ouvrage ( R.235 ) ou le chef d'&eacute;tablissement ( R.232 ) souhaite avoir un accord avant ex&eacute;cution de travaux d'am&eacute;nagement ou de transformation.</p> <p><br> <span class="g_12_bleu">5.03 TGI Cr&eacute;teil - Taxation :</span><br> Actuellement, les taxations interviendraient sur les donn&eacute;es suivantes :<br> - Photocopie = 1 F la page }<br> - Photographie = 10 F pi&egrave;ce } Hors taxe<br> - Dactylographie = 45 F la page }<br> - Courrier-type = 30 F la page }<br> Estimation pr&eacute;visionnelle, en l'&eacute;tat de la mission et des op&eacute;rations d'expertise. Ne pas oublier les photocopies de travail pr&eacute;paratoire.</p> <p><span class="g_12_bleu">5.04 CMP - Centrales de b&eacute;ton pr&ecirc;t &agrave; l&rsquo;emploi :</span><br> Liste d&rsquo;aptitude au 24 mars 1999 - March&eacute;s publics de Travaux relevant du fascicule 65 du CCTG &ndash; Etablie Par la Commission d&rsquo;agr&eacute;ment.<br> (Moniteur 4-6-1999, p. 457 &agrave; 462).</p> <p><span class="g_12_bleu">5.05 Revues &laquo; d'architecture &raquo; :</span><br> A consulter les revues techniques actuelles, il est apparent que les diverses r&eacute;glementations, strictes et exigentielles pour les particuliers, sont pratiquement &laquo; oubli&eacute;es &raquo;, au moins pour partie, pour les constructions r&eacute;alis&eacute;es pour l'Etat, pour les d&eacute;partements et pour les divers organismes officiels.<br> Pourquoi deux poids et deux mesures ? Ce pourrait &ecirc;tre une fable de La Fontaine !</p> <p><span class="g_12_bleu">5.06 S&eacute;ries de prix de l'Acad&eacute;mie d'architecture :</span><br> Jug&eacute;es constitutives d'une pratique anticoncurrentielle sanctionnable au titre de l'ordonnance du ler d&eacute;cembre 1986. L'Acad&eacute;mie fait appel. D&eacute;cision n&deg; 99-D-08 du Conseil de la concurrence en date du 2 f&eacute;vrier 1999, mais sursis &agrave; ex&eacute;cution du 1-6-1999 (C.A.P.).<br> (Moniteur-2-7-1999, p. 360 &agrave; 363 et 30.7-1999, p. 337).</p> <p><span class="g_12_bleu">5.07 ERP - Cahiers de la pr&eacute;vention du Minist&egrave;re de l'Int&eacute;rieur :</span><br> Ces &laquo; Cahiers &raquo;, &eacute;dit&eacute;s par la Soci&eacute;t&eacute; FRANCE SELECTION, ne sont pas publi&eacute;s ( pour &ecirc;tre rendus publics ) dans un bulletin officiel. Il semblerait donc, selon directives de Bruxelles, qu'ils ne puissent &ecirc;tre cit&eacute;s officiellement dans un rapport, &agrave; moins d'&ecirc;tre contractuels.<br> Il faudrait donc faire r&eacute;f&eacute;rence aux &laquo; avis de la commission centrale de s&eacute;curit&eacute;, et de la commission technique interminist&eacute;rielle des IGH &raquo;, avis qui sont publi&eacute;s par ailleurs, et repris dans ces Cahiers.</p> <p><span class="g_12_bleu">5.08 Centres de gestion agr&eacute;&eacute;s :</span><br> La possibilit&eacute; d&rsquo;adh&eacute;rer &agrave; un tel centre est &eacute;tendue &agrave; toute entreprise qui exerce une activit&eacute; vis&eacute;e aux articles 34 et 35-1 du CGI, quels que soient sa forme juridique, son r&eacute;gime d'imposition ou la cat&eacute;gorie d'imp&ocirc;t dont elle rel&egrave;ve.<br> Instruction du 21 juin 1999, cons&eacute;cutive &agrave; un arr&ecirc;t du 17 novembre 1997, n&deg; 140 797 du Conseil d'Etat. Voir Moniteur 24 septembre 1999, p. 103.<br> 5.09 Protection contre l'intrusion : SITEX :<br> Syst&egrave;me SITEX - Mise en place provisoire ou &agrave; long terme.<br> Voir Moniteur 24 septembre 1999, p. 127.</p> <p><span class="g_12_bleu">5.10 &laquo; Pr&eacute;rapport &raquo;, en un seul mot :</span><br> Dans les noms compos&eacute;s, le pr&eacute;fixe &laquo; pr&eacute; &raquo; se joint au nom sans trait d'union, m&ecirc;me quand il y a hiatus LAROUSSE - Dictionnaire des difficult&eacute;s ). Ecrivons donc : &laquo; pr&eacute;rapport &raquo;.<br> De m&ecirc;me, &laquo; ledit &raquo; , &laquo; ladite &raquo; , etc sont en un seul mot, comme copropri&eacute;t&eacute; et copropri&eacute;taire, colocataire, etc .</p> <p><span class="g_12_bleu">5.11 Service du plan de la Ville de Paris :</span><br> Morland, ler &eacute;tage, c&ocirc;t&eacute; Schomberg.<br> Ce service d&eacute;livre des agrandissements du plan parcellaire de la Ville, centr&eacute;s sur le ou les immeubles concern&eacute;s. Format A 3 - 30 F.</p> <p><span class="g_12_bleu">5.12 T&eacute;l&eacute;phone fixe - Co&ucirc;t selon op&eacute;rateurs :</span><br> Etude de C. VOLNEY Affiches parisiennes, n&deg; 1999-118, p. 13).</p> <p><span class="g_12_bleu">5.13 C.U. - POS - Contenu au 1-7-1999 :</span><br> Document n&deg; 4180 t.XI, &eacute;mis par la D.G.U.H.C. du Minist&egrave;re de l'Equipement, d&eacute;finissant la composition du dossier de POS.<br> En vente au J.O. (45 F), 26, rue Desaix - Paris.</p> <p><span class="g_12_bleu">5.14 Unit&eacute;s non l&eacute;gales :</span><br> Apr&egrave;s le ler d&eacute;cembre 1977, les unit&eacute;s : calorie, thermie, frigorie, st&egrave;re, n'ont plus &eacute;t&eacute; des unit&eacute;s l&eacute;gales.<br> Article 4 du d&eacute;cret n&deg; 75-1200 du 4 d&eacute;cembre 1975.<br> J.O. 23-12.1975.</p> <p><span class="g_12_bleu">5.15 Troisi&egrave;me mill&eacute;naire :</span><br> Le Bureau des longitudes pr&eacute;cise qu'il n'y a pas d'an z&eacute;ro ; le premier si&egrave;cle (100 ans) a commenc&eacute; le ler jour de l'an 1, pour se terminer au dernier jour de l'an 100.<br> Le troisi&egrave;me mill&eacute;naire commencera donc le ler janvier 2001, ainsi que le 2le si&egrave;cle.<br> L'ann&eacute;e 2000 qui termine le 20e si&egrave;cle est bissextile, &eacute;tant divisible par 400, alors que 1700, 1800, 1900 &eacute;taient des ann&eacute;es ordinaires.</p> <p><span class="g_12_bleu">5.16 L&eacute;g&egrave;res fuites &eacute;ventuelles de siphons d'appareils sanitaires :</span><br> Sous les siphons des appareils encastr&eacute;s non facilement visitables, douches, baignoires, &eacute;viers, etc, il est possible de mettre en place des couvercles de seaux en mati&egrave;re plastique ou des coupelles &eacute;vas&eacute;es susceptibles de recevoir d'&eacute;ventuelles gouttes d'eau et de permettre leur &eacute;vaporation sans qu'il y ait infiltration en plancher. Cela permet &eacute;galement de v&eacute;rifier rapidement s'il y a fuite ou non. Ce dispositif est indispensable dans les vieux b&acirc;timents o&ugrave;, souvent, le plancher des pi&egrave;ces humides est en bois et pl&acirc;tre, notamment dans les pavillons o&ugrave; une salle d'eau a &eacute;t&eacute; am&eacute;nag&eacute;e dans une pi&egrave;ce s&egrave;che, ou bien la cuisine d&eacute;plac&eacute;e. Ces fuites de siphons se produisent parfois en retour de vacances, les joints ayant s&eacute;ch&eacute;. Il peut y avoir aussi refoulement de vidange de machine &agrave; laver, lorsqu'il y a raccord par crosse et pas d'a&eacute;ration secondaire des vidanges.</p> <p align="center" class="sous_titre"><strong>VI- APPLICATIONS TECHNIQUES OU REGLEMENTAIRES</strong></p> <p><span class="g_12_bleu">6.01 NF C 15-100 - Tableau 52 GC (Electricit&eacute;) :</span><br> Les conduits IRO, MRB,ICO,ICT,ICD, etc, sont devenus IRL, MRL, ICA, ACTA, ICTL,...<br> Voir Interpr&eacute;tation 97-39, juillet 1998 - REEF - mise &agrave; jour 99-2.<br> Modifier les devis descriptifs-type pour le futur.</p> <p><span class="g_12_bleu">6.02 Classement de r&eacute;action au feu MO etc : changement de r&eacute;f&eacute;rence en 2001 :</span><br> En France, les cat&eacute;gories actuelles de r&eacute;action au feu, de M0 &agrave; M4, vont &ecirc;tre<br> modifi&eacute;es CE, pour devenir, &agrave; terme proche : Al, A2, B, C, D, E et F, selon de<br> nouveaux crit&egrave;res europ&eacute;ens en cours de d&eacute;finition et de la r&eacute;gularisation<br> (euroclasses).<br> F serait sensiblement l'ancienne cat&eacute;gorie M5.<br> Voir article d' E. BARDET dans la revue &laquo; ALLO 18 &raquo;, juillet 1999, p. 42, et ce<br> Cahier &sect; 1.21.</p> <p><u class="g_12_bleu">6.03 S.A.V. - Pi&egrave;ces d&eacute;tach&eacute;es de plomberie</u><br> - Pour marques anciennes, telles Chavonet, Crane, Hansa, Grohe, Mingori, Piel, Quercy, Bine, Cito, Presto, etc, il y a des pi&egrave;ces d&eacute;tach&eacute;es chez L.C D.R. (Jean MANTINI), 7, rue de Chaligny 75012 - PARIS t&eacute;l : 01 43 42 45 99, du mardi au samedi de 8 H-30 &agrave; 12 H. et de 13 H.30 &agrave; 18 H.<br> + atelier de r&eacute;paration.<br> - Pour ARTHUR MARTIN, le S.A.V. a &eacute;t&eacute; transf&eacute;r&eacute; de la rue de Ch&acirc;teaudun &agrave; un revendeur au 11, rue de l'Abb&eacute; Groult 75015 PARIS - t&eacute;l. 01 45 33 91 96.</p> <p><span class="g_12_bleu">6.04 VMC - Conduit collecteur unique pour 2 logements par &eacute;tage :</span><br> ALDES et SPIE ont mis au point un conduit cylindrique de 0,60 x 0,85 m, avec cloison diam&eacute;trale verticale interne, permettant de desservir 2 logements par &eacute;tage (2 x 3 prises) - ATec en cours.<br> Batim&eacute;dia, n&deg; 97, p. 7.</p> <p><span class="g_12_bleu">6.05 Ventilation thermodynamique double flux r&eacute;versible :</span><br> Voir exemple en construction individuelle dans le Moniteur du 8 octobre 1999, p.78 - article de F. SAGOT.</p> <p><span class="g_12_bleu">6.06 Prise de terre sur canalisation d&rsquo;eau m&eacute;tallique :</span><br> Compl&eacute;ment au Cahier n&deg; 91, p. 22 et 23.<br> Les publications et normes ant&eacute;rieures &agrave; la premi&egrave;re &eacute;dition &laquo; avril 1957 &raquo; de la norme NF C 15-100, relative aux installations &eacute;lectriques de basse tension (de 50 &agrave; 1000 volts), pr&eacute;voyaient d&eacute;j&agrave; des dispositions techniques relatives aux &laquo; prises de terre &raquo; et &agrave; la &laquo; connexion &eacute;quipotentielle &raquo;.<br> Dans la norme NF C 11, en vigueur de 1930 &agrave; 1957, il &eacute;tait pr&eacute;vu, par exemple, diverses solutions, en chapitre V (articles 170 &agrave; 192) du titre Il, dont l'utilisation, pour ce faire, du conducteur neutre, ou de conduites m&eacute;talliques souterraines &eacute;tendues (art. 184).<br> Dans cette seconde &eacute;ventualit&eacute;, tout &eacute;l&eacute;ment susceptible d'&ecirc;tre d&eacute;mont&eacute; (compteur, robinet, raccord, etc ) devait &ecirc;tre shunt&eacute; par un conducteur de cuivre de 28 mm&sup2; de section, connect&eacute; par colliers de serrage, et de longueur suffisante pour ne pas g&ecirc;ner ult&eacute;rieurement le d&eacute;montage de cet &eacute;l&eacute;ment. Voir page 25, extrait de 2e &eacute;dition.<br> Toutefois, &agrave; PARIS, cette solution n'&eacute;tait, et n'est, toujours pas utilisable, sauf exception, puisque les canalisations g&eacute;n&eacute;rales d'alimentation en eau ne sont pas &laquo; souterraines &raquo; (dans le sens d'enterr&eacute;es ), mais g&eacute;n&eacute;ralement fix&eacute;es en &eacute;l&eacute;vation sur les parois des &eacute;gouts visitables, &agrave; moins d'utiliser une portion de canalisation priv&eacute;e enterr&eacute;e et de longueur suffisante.<br> Les premi&egrave;res &eacute;ditions de NF C 15-100, y compris l'&eacute;dition 1966, valable jusqu'en 1976, avaient repris ces dispositions, sous r&eacute;serve de l'accord des distributeurs gestionnaires du r&eacute;seau public enterr&eacute;. Cependant, &agrave; l'usage et en certains terrains, des corrosions localis&eacute;es des canalisations d'eau ont pu se r&eacute;v&eacute;ler, g&eacute;n&eacute;ralement dans les quelques m&egrave;tres apr&egrave;s p&eacute;n&eacute;tration en terre du tuyau utilis&eacute; comme prise de terre.<br> Il est donc possible de trouver, actuellement, des installations d'&eacute;poque ainsi r&eacute;alis&eacute;es, notamment en banlieue et en province.<br> L'&eacute;dition 1976/1982 de la norme, applicable de 1977 &agrave; 1991 , admettait toujours cette solution, en un article 542-2.2 &laquo; prises de terre de fait &raquo;, mais l'article 543.2 la r&eacute;formait pour les travaux futurs, en imposant, en aval du compteur g&eacute;n&eacute;ral d'un b&acirc;timent existant, notamment un &laquo; joint isolant &raquo; et la mise en place d'une liaison directe obligatoire avec une prise de terre, sp&eacute;cialement &eacute;tablie, barrette de coupure, affiche, etc.<br> Toujours pour les b&acirc;timents existants, cette disposition nouvelle est ainsi entr&eacute;e en vigueur le 29 juillet 1977, date d'homologation, pour les travaux de mise &agrave; la terre, dont la date de lancement de la consultation est post&eacute;rieure.<br> Les travaux neufs complets et les extensions restaient assujettis aux mesures g&eacute;n&eacute;rales avec utilisation de conducteurs sp&eacute;cifiques ind&eacute;pendants, depuis le ceinturage en fond de fouilles, comme d&eacute;j&agrave; pr&eacute;vu ant&eacute;rieurement .<br> La circulaire minist&eacute;rielle n&deg; 86-92 du 23 d&eacute;cembre 1986 (Bulletin UTE - avril<br> 1987 ) a explicit&eacute; cette solution, mais en rempla&ccedil;ant le &laquo; joint isolant &raquo; par un &laquo; manchon isolant de 2 m&egrave;tres de longueur droite &raquo;.<br> L'&eacute;dition actuelle 1991 de la norme a repris cette r&eacute;daction en article 542-3 pour les am&eacute;nagements futurs de prises de terre en b&acirc;timent existant.<br> Les sch&eacute;mas explicatifs, &eacute;tablis plus particuli&egrave;rement par PROMOTELEC,<br> n'envisagent que la mise en place, dans chaque local d'un ensemble collectif, d'un circuit individuel de protection, raccord&eacute; directement sur la colonne montante d'eau. De plus, il est fait &eacute;tat de &laquo; manchette isolante &raquo; ou de &laquo; tron&ccedil;on de canalisation isolante &raquo;, ce qui est divergent du &laquo; manchon &raquo; pr&eacute;vu, et est une aggravation non motiv&eacute;e de la norme.<br> Mais au cas o&ugrave; l'occupant continue, dans ce local, &agrave; utiliser la canalisation d'eau froide privative comme prise de terre pour y raccorder ses appareils, il est &eacute;vident que l&rsquo;article 457-2 de la norme l'oblige, afin d'assurer la continuit&eacute; &eacute;lectrique, &agrave; shunter compteur individuel, robinets et raccords ... comme en 14 ! et &agrave; &eacute;tablir une ou plusieurs liaisons &eacute;quipotentielles correctes dans les locaux dits humides.<br> Enfin, &agrave; partir du moment o&ugrave; le branchement d'eau de l'immeuble est modifi&eacute; pour &ecirc;tre r&eacute;alis&eacute; en tuyau plastique jusqu'au compteur g&eacute;n&eacute;ral, le &laquo; manchon &raquo; devient inutile, mais la prise de terre sp&eacute;ciale indispensable.<br> La colonne montante m&eacute;tallique, bien entendu, doit assurer la continuit&eacute; de liaison depuis tous les locaux jusqu'&agrave; la prise de terre et ne pas comporter de robinet partiel d&eacute;montable non shunt&eacute;, ou de parties r&eacute;par&eacute;es ou chang&eacute;es en mat&eacute;riaux non conducteurs, plastique par exemple.<br> Cette &eacute;ventualit&eacute; peut r&eacute;sulter de l'intervention inconsid&eacute;r&eacute;e d'un plombier<br> intervenant pour remplacer canalisation d'eau en plomb, selon la mode actuelle, par une canalisation en mat&eacute;riau isolant.<br> Il semble &eacute;galement qu'en cas de d&eacute;faillance de la prise de terre, la liaison<br> &eacute;quipotentielle puisse parfois permettre, &agrave; tort, aux tuyaux m&eacute;talliques fixes de gaz de servir de prise de terre dans leurs parties enterr&eacute;es (art. 7-9&deg; de l'AIM du 2 ao&ucirc;t 1977, modifi&eacute;).<br> Rappelons &eacute;galement que l'&eacute;dition 1991, modifi&eacute;e 1994 et 1995, de la norme NF C 15-100, n'est opposable qu'aux installations nouvelles et aux extensions ou modifications d'installations existantes correctes avec la r&eacute;glementation de leur &eacute;poque (art. 610-4, ceci au 13 mai 1991, date de la &laquo; prise d'effet &raquo;, indiqu&eacute;e en couverture).<br> Il est ainsi n&eacute;cessaire de rechercher la date &agrave; laquelle la &laquo; prise de terre de fait &raquo; a &eacute;t&eacute; r&eacute;alis&eacute;e, avant d'affirmer qu'elle n'est pas &laquo; r&eacute;glementaire &raquo;.<br> Par ailleurs, dans le cas habituel de canalisations g&eacute;n&eacute;rales de terre, pos&eacute;es en gaine technique accessible, il est arriv&eacute; que des individus, habill&eacute;s en agents EDF, aient enlev&eacute; et vol&eacute; ces canalisations en cuivre, en pr&eacute;textant une &laquo; mise en conformit&eacute; &raquo;. De bonne foi, des usagers se croyaient prot&eacute;g&eacute;s ! Il faudrait, sans doute, envisager d'utiliser des conducteurs de terre en aluminium, pour &eacute;viter toute tentation !</p> <p><span class="g_12_bleu">6.07 Encore &laquo; 1&rsquo;a&eacute;ration g&eacute;n&eacute;rale et permanente &raquo; ! :</span><br> Un confr&egrave;re signale que les dispositions th&eacute;oriques pr&eacute;vues dans le cadre<br> obligatoire des R&egrave;gles g&eacute;n&eacute;rales de construction et d'am&eacute;nagement des locaux d'habitation (art. R.111-1 &agrave; R.111-18 du CCH ), notamment pour l'a&eacute;ration [art. 2 et 3 de l&rsquo;AIM du 24 mars 1982, modifi&eacute; 1983], peuvent &ecirc;tre respect&eacute;es, tout en restant parfaitement inefficaces en pratique, &agrave; partir du moment o&ugrave; les bouches d'&eacute;vacuation d'air sont implant&eacute;es en plafond et &agrave; proximit&eacute; de la porte d'acc&egrave;s aux pi&egrave;ces de services plus particuli&egrave;rement dans la cuisine (cuisson) et dans la salle d'eau (douche), m&ecirc;me en VMC.<br> Il indique &eacute;galement que ces r&egrave;gles obligatoires &agrave; l'&eacute;chelon national (dont l'AIM du 22 octobre 1969 ) n'imposent plus depuis 30 ans, de section minimales pour les conduits de fum&eacute;e individuels, et en particulier pour les foyers ouverts &agrave; tirage naturel, telles qu'elles &eacute;taient d&eacute;finies ant&eacute;rieurement en article 7 de l'AIM du 14 novembre 1958.<br> Les sections indiqu&eacute;es en articles 9 &agrave; 11 de l'arr&ecirc;t&eacute; de 1969 concernent les conduits collectifs.<br> Cette lacune provenant, sans doute, d'un article oubli&eacute; &agrave; l'&eacute;poque, rend service aux promoteurs, puisque les notices-types de vente (AM du 10 mai 1968) ne pr&eacute;voient pas les sections de conduits (&sect; 1.6 et 2.9.4 ), puisque d&eacute;j&agrave; d&eacute;finies en 1958 !<br> On peut ainsi trouver, &agrave; la prise de possession, des conduits individuels de sections m&ecirc;me inf&eacute;rieures &agrave; 2,5 dm2... pour am&eacute;nagement ult&eacute;rieur d'une &laquo; chemin&eacute;e &raquo; d&eacute;corative, d'apr&egrave;s notice contractuelle.<br> Les r&eacute;dacteurs du DTU n&deg; 24-1 (&sect; 1.4) ont une bonne vue pour trouver des cotes de dimensionnement visant les conduits individuels dans l' AIM de 1969 !</p> <p><span class="g_12_bleu">6.08 &laquo; Parfait &eacute;tat d'&eacute;tanch&eacute;it&eacute; des murs et des sols &raquo; :</span><br> Rappelons, tout d'abord, que, dans le cas g&eacute;n&eacute;ral, l'article 22 du R&egrave;glement<br> sanitaire d&eacute;partemental type 1978, d&eacute;finissant le domaine d'application de ce<br> r&egrave;glement, le limitait &agrave; l'am&eacute;nagement et &agrave; l'&eacute;quipe ment des b&acirc;timents existants, &agrave; l'exclusion de ceux construits selon les r&egrave;gles g&eacute;n&eacute;rales de construction (art. R.111-1 du CCH, actuellement).<br> A PARIS, l'article 22 du RSD du 20 novembre 1979, modifi&eacute;, avait toutefois<br> &eacute;tendu certains articles ( 41 &agrave; 44 ter, 50, 53 et 53 bis) aux constructions nouvelles.<br> L'&eacute;tanch&eacute;it&eacute; (sic) des murs et des sols des locaux (art. 33), notamment ceux des locaux sanitaires ( art. 45 ), ne peut ainsi valablement &ecirc;tre &eacute;voqu&eacute;e, pour une construction r&eacute;alis&eacute;e depuis le ler Janvier 1959, sous couvert de ce r&egrave;glement, qui ne permet pas alors une motivation r&eacute;glementaire applicable.<br> Au reste, le vocable &laquo; &eacute;tanch&eacute;it&eacute; &raquo; para&icirc;t excessif en la mati&egrave;re pour pr&eacute;tendre transformer en piscine une salle d'eau par absence de pr&eacute;caution ( rideau de douche, par exemple ) ou abus d'usage, ce que J. ROBINE appelait &laquo; prendre un bain comme un hippopotame &raquo;.<br> La disposition, pr&eacute;vue en article 45, semblait plus particuli&egrave;rement viser<br> l&rsquo;am&eacute;nagement d'une pi&egrave;ce d'habitation parquet&eacute;e en salle d&rsquo;eau, comme cela s&rsquo;est g&eacute;n&eacute;ralis&eacute; dans les r&eacute;habilitations de vieux b&acirc;timents o&ugrave; les salles d'hygi&egrave;ne n'&eacute;taient pas pr&eacute;vues.<br> Voir Cahier CEA n&deg; 94, &sect; 7.08 et 7.16.<br> La norme P 00-001 - mars 1990 ( REEF ) indique :<br> - 9.12 &eacute;tanch&eacute;it&eacute; &agrave; l'eau (1) : Qualit&eacute; d'un &eacute;l&eacute;ment de construction qui ne laisse pas passer l'eau, - &eacute;tanch&eacute;it&eacute; &agrave; l&rsquo;eau (2) : Tous moyens permettant d'assurer cette qualit&eacute;.<br> C'est une simple obligation de r&eacute;sultat, sans formalisme technique.</p> <p align="center" class="sous_titre"><strong>VII &ndash; REPONSES APPORTEES A CERTAINES QUESTIONS POSEES</strong></p> <p>Le ma&icirc;tre s&rsquo;en tient &agrave; l&rsquo;essentiel<br> GOETHE<br> (&hellip; C&rsquo;est aussi pour le sottisier !)</p> <p><span class="g_12_bleu">7.0l Sas de protection d&rsquo;un local en cul-de-sac ( chaufferie, r&eacute;ceptacle V.O., etc)</span><br> Protection illusoire. L'exp&eacute;rience prouve que la porte int&eacute;rieure est g&eacute;n&eacute;ralement bloqu&eacute;e ouverte ... parce que &ccedil;a ne se voit pas de la circulation g&eacute;n&eacute;rale, et parce que deux portes &agrave; la suite compliquent le service. Il est pr&eacute;f&eacute;rable de mettre en place une porte simple, mais de degr&eacute; de r&eacute;sistance au feu doubl&eacute;e, avec fermeporte ( pr&eacute;vu, par exemple, en article 5.3 de l'AIM du 23 juin 1978 sur les chaufferies). En tout &eacute;tat de cause, un sas ne doit avoir que deux portes et &ecirc;tre maintenu d&eacute;gag&eacute;. Pour les locaux techniques, les deux portes ouvrent dans le sens de la sortie, dit &laquo; sas de fuite &raquo;.</p> <p><span class="g_12_bleu">7.02 Porte &agrave; ferme-porte ( notamment art. CO 34, &sect; 5 du r&egrave;glement de s&eacute;curit&eacute; ERP)</span><br> La Commission centrale de s&eacute;curit&eacute; du Minist&egrave;re de l'Int&eacute;rieur a pr&eacute;cis&eacute; que tout dispositif efficace, fermant effectivement une porte par lui-m&ecirc;me, r&eacute;pondait &agrave; cette d&eacute;finition, outre les ferme-porte classiques. Il peut s&rsquo;agir de paumelles &agrave; ressort, de simple ressort, de poulies &agrave; contrepoids et m&ecirc;me de paumelles &agrave; h&eacute;lice.<br> Le probl&egrave;me est surtout que le vantail se ferme compl&egrave;tement et reste ferm&eacute; en cas de d&eacute;pression ou de pression sur une face. Or, les g&acirc;ches ordinaires constituent souvent une but&eacute;e pour le p&ecirc;ne de la serrure, s'il n&rsquo;est pas graiss&eacute; : le vantail ne se ferme pas compl&egrave;tement pour les serrures &agrave; larder, il faut faire arrondir la plaque de p&ecirc;ne qui doit d&eacute;passer le b&acirc;ti dormant. Il est regrettable que les g&acirc;ches &agrave; rouleau aient pratiquement disparu.</p> <p><span class="g_12_bleu">7.03 D&eacute;finition du comble :</span><br> D'apr&egrave;s le &laquo; Vocabulaire de l'architecture - Principe d'analyse scientifique &raquo; du Minist&egrave;re des Affaires culturelles, c'est la partie de l'espace int&eacute;rieur comprise sous les versants du toit et s&eacute;par&eacute;e dans les parties inf&eacute;rieures, par un plancher ou une vo&ucirc;te. Le comble peut comprendre un ou plusieurs &eacute;tages. Les &eacute;tages de combles se comptent de bas en haut, s&eacute;par&eacute;ment des &eacute;tages-carr&eacute;s.<br> Le comble n'a pas de forme ; c'est le toit qui est bris&eacute;, &agrave; deux versants, etc<br> Le comble perdu est l'espace non habitable dans un comble sous toit plat, ou dans la partie sup&eacute;rieure d'un comble au-dessus du dernier &eacute;tage de comble. Par d&eacute;finition, cet espace non habitable ne constitue pas un &eacute;tage.<br> La mise &agrave; disposition, pour l'habitation, d'un comble non am&eacute;nag&eacute; en fonction des crit&egrave;res relatifs aux logements, tombe sous le coup de l'article L.43 du Code de la sant&eacute; publique, comme les caves, sous-sols et pi&egrave;ces d&eacute;pourvues d'ouverture sur l'ext&eacute;rieur.</p> <p><span class="g_12_bleu">7.04 R&eacute;f&eacute;rence aux DTU ( cf Cahier CEA n&deg; 94, &sect; 7.01 ) :</span><br> Si le CCTG et le CCTP d'une op&eacute;ration imposent l'application de DTU, ne pas<br> oublier que la date d'effet du DTU, cit&eacute; dans le rapport en r&eacute;f&eacute;rence d'un avis, doit&ecirc;tre d'au moins deux mois ant&eacute;rieure &agrave; la date de lancement de la consultation de cette op&eacute;ration, et de trois mois depuis 1989 (cf art. 5.1.3 de NF P 03-001).<br> Un demandeur a fait &eacute;tat, pour un chantier de 1987 ( rev&ecirc;tement de balcons ), du non-respect de l'annexe 4 du DTU n&deg; 52-1 d'octobre 1985, mais cette annexe concernant la pose de rev&ecirc;tements ext&eacute;rieurs de sol scell&eacute;s, a &eacute;t&eacute; ajout&eacute;e ( additif n&deg; 1 ) en d&eacute;cembre 1992 !<br> Jusqu'&agrave; cette date, seuls les rev&ecirc;tements int&eacute;rieurs &eacute;taient vis&eacute;s par le DTU, en l'absence de cette annexe .<br> Les constructeurs ne sont pas des devins.</p> <p><u class="g_12_bleu">7.05 D&eacute;gagements &laquo; de secours &raquo; - <strong>RAPPEL :</strong></u><br> En l'&eacute;tat actuel de la r&eacute;glementation, un d&eacute;gagement &laquo; de secours &raquo; (escalier, sortie, etc ) est un ou plusieurs des d&eacute;gagements normaux r&eacute;glementaires, qui, pour des raisons d'exploitation de l'&eacute;tablissement ( contr&ocirc;le, vols, etc ), n'est pas utilis&eacute; en permanence par le public (art. CO 34 du r&egrave;glement de s&eacute;curit&eacute; ERP du 20 juin 1980 ), ou par le personnel ( art. R.235-4-2 et R.235-4-3 du Code du Travail ), selon d&eacute;cision de l'exploitant ou du chef d'&eacute;tablissement.<br> Les services de s&eacute;curit&eacute; ou bureaux de contr&ocirc;le n'ont pas qualit&eacute; pour imposer une &laquo; sortie de secours &raquo; suppl&eacute;mentaire, mais, le cas &eacute;ch&eacute;ant et dans le cadre d'une motivation r&eacute;glementaire, une sortie &laquo; normale &raquo;, ou &laquo; accessoire &raquo;, &eacute;tant entendu qu'au moins un escalier et une sortie restent &laquo; utilis&eacute;s en permanence &raquo;.<br> Voir &laquo; Sottisier &raquo;.<br> En habitation, il n'y a pas de d&eacute;gagement &laquo; de secours &raquo;, puisque, g&eacute;n&eacute;ralement, un seul d&eacute;gagement est prescrit pour l'usage permanent par les occupants.</p> <p><span class="g_12_bleu">7.06 Grilles d'a&eacute;ration g&eacute;n&eacute;rale et permanente des logements et des locaux :</span><br> &laquo; Au moins pendant la p&eacute;riode o&ugrave; la temp&eacute;rature ext&eacute;rieure oblige &agrave; maintenir les fen&ecirc;tres ferm&eacute;es &raquo; (AIM du 24 mars 1982, modifi&eacute; 1983).<br> Une grille d'a&eacute;ration &laquo; propre &raquo;, notamment celle de sortie d'air dans les pi&egrave;ces de <strong>service</strong>, peut indiquer deux options principales :<br> - ou bien, elle a &eacute;t&eacute; pos&eacute;e, ou nettoy&eacute;e r&eacute;cemment (ce qui est assez rare !),<br> - ou bien, elle ne fonctionne pas, soit qu'elle soit &laquo; bidon &raquo;, soit que l'orifice ou le conduit qu'elle dessert aient &eacute;t&eacute; bouch&eacute;s, soit qu'elle m&ecirc;me ait &eacute;t&eacute; calfeutr&eacute;e par les occupants, soit que le conduit soit ou inadapt&eacute;, ou de hauteur insuffisante, ou de d&eacute;bouch&eacute; ext&eacute;rieur mal con&ccedil;u.<br> Cet &eacute;tat de fait doit &ecirc;tre contr&ocirc;l&eacute;, notamment dans le cas de condensations sur parois, ou de moisissures, imput&eacute;es souvent &agrave; des &laquo; infiltrations &raquo;, notamment en murs pignons et dans les angles de pi&egrave;ces.<br> En cuisine, une hotte m&eacute;canique autonome raccord&eacute;e sur un conduit particulier (et non sur un conduit collectif ou une V.M.C.) n&rsquo;extrait l'air du logement :<br> - que lorsque le moteur fonctionne en continu,<br> - que si aucune entr&eacute;e d'air parasite directe n'a &eacute;t&eacute; cr&eacute;&eacute;e &agrave; tort dans ladite cuisine.<br> (cf Cahier CEA n&deg; 94, &sect; 7.08 ).<br> Dans le cas de fonctionnement discontinu du moteur, un by-pass &agrave; inversion<br> automatique doit permettre l'a&eacute;ration naturelle du local, conform&eacute;ment au principe technique et r&eacute;glementaire du &laquo; balayage &raquo;, a&eacute;ration <strong>g&eacute;n&eacute;rale et permanente </strong>du logement.<br> Pour s'assurer du sens de fonctionnement (ou de l'absence de fonctionnement) d'une grille, <strong>fen&ecirc;tres et portes ferm&eacute;es</strong>, utiliser, par exemple, une feuille de papier pelure, qui vous indique le sens dans lequel le dispositif fonctionne ou non, et s'il r&eacute;pond &agrave; sa destination.<br> Certains malins utilisent, pour boucher la grille, un film plastique transparent<br> incolore et autocollant, sous pr&eacute;texte de supprimer les courants d'air, ou de<br> participer aux &eacute;conomies d'&eacute;nergie !<br> La r&eacute;glementation de 1982 n'a fait que reprendre et pr&eacute;ciser celles de 1969, entr&eacute;es en vigueur le ler janvier et le ler juillet 1970.<br> En tout &eacute;tat de cause, la r&eacute;glementation ant&eacute;rieure d&rsquo;a&eacute;ration par pi&egrave;ce, un trou en haut / un trou en bas, type 1958, s'est r&eacute;v&eacute;l&eacute;e un r&eacute;sultat particuli&egrave;rement inefficace dans la pratique pour obtenir un r&eacute;sultat concret .<br> Notons &eacute;galement :<br> - que les grilles dites &laquo; &agrave; chevrons &raquo; ne laissent pratiquement pas passer l'air !<br> - que le syst&egrave;me dit &laquo; du balayage &raquo; fonctionne g&eacute;n&eacute;ralement &agrave; l'envers, en solution naturelle, quand la temp&eacute;rature ext&eacute;rieure est plus &eacute;lev&eacute;e que la temp&eacute;rature int&eacute;rieure,<br> - que les jeux de menuiseries ext&eacute;rieures anciennes participent aussi &agrave; l'entr&eacute;e d'air tant qu'elles n'ont pas &eacute;t&eacute; remplac&eacute;es par des mod&egrave;les r&eacute;cents, dits &eacute;tanches et des vitrages isolants, ce qui augmente les risques de condensations sur parois.</p> <p><span class="g_12_bleu">7.07 Comp&eacute;tence et assurance :</span><br> Sur les conseils d'un avocat, un jeune architecte en difficult&eacute; avec un client sur un chantier de r&eacute;habilitation, s'est adress&eacute; au DROPSY-SERVICE.<br> Manifestement, il ignorait presque tout sur<br> . le Code civil,<br> . le Code du Travail, notamment les chapitres 232 et 235,<br> . les r&egrave;gles g&eacute;n&eacute;rales de construction,<br> . les Codes relatifs &agrave; la construction et &agrave; l'urbanisme,<br> . le REEF et son contenu,<br> . la r&eacute;glementation sp&eacute;cifique aux travaux ex&eacute;cut&eacute;s et mis en cause.<br> F&eacute;licitations &agrave; ses formateurs et appr&eacute;cions sa curiosit&eacute; professionnelle !</p> <p><u class="g_12_bleu">7.08 R&egrave;glement de copropri&eacute;t&eacute; - Destination d'un lot :</u> <br> La destination d'un lot port&eacute;e par le lotisseur sur le r&egrave;glement et le plan de<br> copropri&eacute;t&eacute;, n'engage que les copropri&eacute;taires entre eux. Les caract&eacute;ristiques de ce lot ou des pi&egrave;ces de ce lot doivent, administrativement, r&eacute;pondre aux crit&egrave;res de la r&eacute;glementation sanitaire et notamment aux conditions minimales d'habitabilit&eacute;, pour permettre son occupation comme habitation, en cas de mise &agrave; disposition gratuite ou on&eacute;reuse dudit lot &agrave; un tiers par son propri&eacute;taire (cf art. L.43 CSP, et ce cahier &sect; 7.03).</p> <p><span class="g_12_bleu">7.09 Quid des branchements particuliers d'&eacute;gout &agrave; PARIS :</span><br> Certaines dispositions du r&egrave;glement sanitaire du 20 novembre 1979 (art. 44 bis-2 et suivants) sont d&eacute;pass&eacute;es par l'&eacute;volution de la l&eacute;gislation, de la r&eacute;glementation et de la technique.<br> Outre la loi n&deg; 86-17 du 6 janvier 1986 qui l'a rendu caduc (nouvel article L.1 du CSP), la loi n&deg; 92-3 du 3 janvier 1992 a compl&eacute;t&eacute; l'article L-34 du Code de la sant&eacute; publique, d&eacute;j&agrave; modifi&eacute; en 1958 : les branchements &eacute;tablis sous le domaine public, par et aux frais des propri&eacute;taires riverains, sont ensuite incorpor&eacute;s &agrave; ce domaine, et deviennent propri&eacute;t&eacute; de la commune, qui en assure d&eacute;sormais l'entretien, &laquo; et en contr&ocirc;le la conformit&eacute; &raquo;.<br> Cependant, l'alin&eacute;a suivant pr&eacute;voit la possibilit&eacute;, depuis 1958, de remboursement, par les propri&eacute;taires int&eacute;ress&eacute;s, de tout ou partie des d&eacute;penses entra&icirc;n&eacute;es par ces travaux d'entretien.<br> De plus, le r&egrave;glement d'assainissement de PARIS, approuv&eacute; par le Conseil de Paris le 25 mai 1998, a fait l'objet de l'arr&ecirc;t&eacute; municipal du 3 ao&ucirc;t 1998, pour son application.<br> En syst&egrave;me unitaire (art. 4.1), il y a maintenant 2 types de branchements<br> particuliers :<br> - ceux dits &laquo; ouverts &raquo; sur un &eacute;gout &eacute;l&eacute;mentaire ou un collecteur visitable (mur&eacute;s en limite de propri&eacute;t&eacute;), <br> - ceux dits &laquo; ferm&eacute;s &raquo; (mur&eacute;s &agrave; l'aplomb de l'&eacute;gout public), ouverts<br> obligatoirement sur une partie commune accessible de l'immeuble et r&eacute;serv&eacute;e pour permettre l'acc&egrave;s notamment au personnel communal pour les besoins de la surveillance et de l'entretien de l'ouvrage (acc&egrave;s par orifice de regard, ou ouverture directe en sous-sol, acc&egrave;s maintenu libres en permanence), la limite entre domaine public et domaine priv&eacute; &eacute;tant mat&eacute;rialis&eacute;e par une cha&icirc;ne ou tout autre dispositif appropri&eacute;.<br> Le probl&egrave;me des acc&egrave;s dans l'immeuble, command&eacute;s par des contr&ocirc;les<br> alphanum&eacute;riques, n'est pas pr&eacute;cis&eacute;.<br> Or, souvent, les d&eacute;cisions de copropri&eacute;taires ne tiennent pas compte de textes r&eacute;glementaires pouvant autoriser certains personnels (EDF, GDF, Eaux, T&eacute;l&eacute;phone, Egouts [art. L.35-10 CSP], Pompiers, Police, etc ) &agrave; p&eacute;n&eacute;trer, de jour comme de nuit, dans les parties communes &agrave; l'int&eacute;rieur de l'immeuble. - Voir Cahier CEA n&deg; 90, &sect; 4.06.<br> Nous savons &eacute;galement, par exp&eacute;rience, que beaucoup de branchements<br> particuliers, dits ferm&eacute;s, servent, &agrave; tort, de d&eacute;p&ocirc;t d'objets abandonn&eacute;s et d'ordures, quand ce n'est pas de stockage de bouteilles de gaz liqu&eacute;fi&eacute;s, comme une commission de s&eacute;curit&eacute; a pu le relever en visitant un restaurant &agrave; Paris !<br> Nota :<br> &nbsp;1) Le &laquo; R&egrave;glement d'assainissement de Paris &raquo; fait l'objet d'une brochure &eacute;dit&eacute;e par la Mairie.<br> 2) L'article L-34 (REEF) s'applique &agrave; l'ensemble de la France.</p> <p><strong>Extrait de NF C 11 - 2e &eacute;dition, dite &quot; de 1946 &quot; - reprise en novembre 1951 (p. 138 &agrave; 141)</strong><br> - Entr&eacute;e en vigueur : ler janvier 1947, jusqu'en mars 1957.<br> - Applicable aux installations neuves et aux installations existantes, mais seulement &agrave; l'occasion d'une r&eacute;vision, d'une extension notable, de r&eacute;parations ou de transformations importantes (art. 2).</p> <p>ART. 183 - <em>Emploi des prises de terre du conducteur neutre de la distribution.</em><br> L&rsquo;emploi, comme prise de terre, de celle du conducteur neutre de la distribution est subordonn&eacute; &agrave; l'autorisation du distributeur d'&eacute;nergie &eacute;lectrique. En particulier, celui-ci peut mettre &agrave; son autorisation la condition qu'une prise de terre soit &eacute;tablie &agrave; l'int&eacute;rieur de l'immeuble de fa&ccedil;on &agrave; pallier les inconv&eacute;nients d'une interruption possible du conducteur neutre.</p> <p>ART. 184. <em>- Emploi de conduites souterraines &eacute;tendues.</em><br> L'emploi d'une conduite souterraine &eacute;tendue n'est licite que si l'ensemble des pr&eacute;sentes r&egrave;gles est strictement observ&eacute;. C'est &agrave; l'usager de la mise &agrave; la terre qu'il incombe de s'en assurer ; c'est lui aussi qui, en cas de modification de la conduite, doit faire v&eacute;rifier par une personne comp&eacute;tente que cette modification n'alt&egrave;re pas 1&rsquo;efficacit&eacute; de la mise &agrave; la terre et qui, le cas &eacute;ch&eacute;ant, doit faire entreprendre les travaux n&eacute;cessaires pour la r&eacute;tablir.<br> Les obligations qui pr&eacute;c&egrave;dent concernent tout sp&eacute;cialement l'&eacute;ventualit&eacute; o&ugrave; il s'agit d'une conduite d'eau reli&eacute;e &agrave; une distribution publique, la responsabilit&eacute; du distributeur d'eau ne pouvant en aucun cas &ecirc;tre engag&eacute;e.<br> La connexion des canalisations de terre avec une conduite souterraine &eacute;tendue, et notamment avec une conduite d'eau doit &ecirc;tre faite au moyen d'un collier &agrave; serrage, quitte &agrave; prendre, pour sa conservation, si besoin est, les pr&eacute;cautions inscrites &agrave; l'article 188.<br> La continuit&eacute; et la conductibilit&eacute; de la conduite doivent &ecirc;tre assur&eacute;es sur tout son parcours, depuis le point o&ugrave; cette conduite sort de terre jusqu'&agrave; l'endroit o&ugrave; est plac&eacute; le collier auquel aboutissent les canalisations de terre.<br> Le collier peut, &agrave; cet effet, &ecirc;tre plac&eacute; &agrave; proximit&eacute; imm&eacute;diate de l'entr&eacute;e de la conduite dans le b&acirc;timent, en amont de tout &eacute;l&eacute;ment susceptible d'&ecirc;tre d&eacute;mont&eacute; ou s'opposant &agrave; la conductibilit&eacute; &eacute;lectrique de la conduite. Si le collier est plac&eacute; ailleurs, tout &eacute;l&eacute;ment de la conduite se trouvant entre sa sortie de terre et l'emplacement du collier et pouvant &ecirc;tre d&eacute;mont&eacute; ou s'opposant &agrave; la conductibilit&eacute; doit &ecirc;tre shunt&eacute; par un conducteur de cuivre<br> ayant une section de 28 mm&sup2;, ce conducteur &eacute;tant connect&eacute; &agrave; la conduite par l'interm&eacute;diaire de colliers de serrage.<br> Ce conducteur est, du point de vue de sa conservation, consid&eacute;r&eacute; comme un conducteur de terre et, comme tel, doit r&eacute;pondre aux r&egrave;gles inscrites &agrave; l'article 188.<br> La r&egrave;gle pr&eacute;c&eacute;dente concerne notamment le compteur et le robinet d'arr&ecirc;t, lorsque la connexion des canalisations de terre avec la conduite est faite en aval et que la longueur interpos&eacute;e de conduites enterr&eacute;es n'est pas suffisante pour assurer par elle-m&ecirc;me la mise &agrave; la terre ; le shunt doit &ecirc;tre install&eacute; de fa&ccedil;on que les ouvriers appel&eacute;s &agrave; r&eacute;parer ou &agrave; entretenir le compteur ou le robinet ne soient pas dans la n&eacute;cessit&eacute; de le d&eacute;monter.<br> Pour permettre aux ouvriers travaillant sur une telle conduite de reconna&icirc;tre qu'elle sert &agrave; la mise &agrave; la terre, on utilisera des plaques &eacute;maill&eacute;es, d'au moins 80 x 40 mm, portant en caract&egrave;res lisibles et durables de couleur noire sur fond jaune la mention CONDUITE SERVANT A LA MISE A LA TERRE. Une telle plaque doit &ecirc;tre fix&eacute;e d'une fa&ccedil;on permanente &agrave; proximit&eacute; de la conduite, pr&egrave;s du collier o&ugrave; sont raccord&eacute;es les canalisations de terre, et le cas &eacute;ch&eacute;ant pr&egrave;s des vannes ou robinets d'arr&ecirc;t se trouvant entre la sortie de terre de la conduite et le collier pr&eacute;cit&eacute;.<br> La pose de ces plaques doit avoir lieu lors de la r&eacute;alisation de la mise &agrave; la terre et, en tout cas, pr&eacute;c&eacute;der la mise en service des &eacute;l&eacute;ments de l'installation ainsi mis &agrave; la terre.<br> COMMENTAIRE. - L'emploi d'une conduite souterraine &eacute;tendue et notamment d'une conduite d'eau pour r&eacute;aliser la mise &agrave; la terme, en sus de l&rsquo;&eacute;conomie de mat&eacute;riaux que procure souvent par rapport &agrave; l'emploi d'autres prises de terre, est recommandable du point de vue de la s&eacute;curit&eacute;, car il conduit &agrave; des terres s&ucirc;res, durables et peu r&eacute;sistantes ; il est donc susceptible d'application, m&ecirc;me lorsqu'il n'est pas n&eacute;cessaire d'inclure cette conduite parmi les &eacute;l&eacute;ments m&eacute;talliques du b&acirc;timent mis en liaison avec la terre, et<br> notamment lorsqu'on r&eacute;alise la mise &agrave; la terre par l'interm&eacute;diaire du conducteur neutre de la distribution.<br> Cet emploi a suscit&eacute; des craintes quant aux d&eacute;t&eacute;riorations auxquelles les conduites d'eau sont sujettes et aux dangers auxquels sont expos&eacute;es les personnes qui y touchent. C&rsquo;est pr&eacute;cis&eacute;ment pour &eacute;viter ces d&eacute;t&eacute;riorations et ces dangers que les pr&eacute;sentes r&egrave;gles ont &eacute;t&eacute; &eacute;labor&eacute;es d'accord avec le Syndicat professionnel des Distributeur d'Eau et reconnues comme de nature &agrave; assurer la s&eacute;curit&eacute;.<br> La stricte application des r&egrave;gles appara&icirc;t d'autant plus n&eacute;cessaire que la mise &agrave; la terre d'une part, la conduite souterraine d'autre part, se trouvent le plus souvent sous la garde de personnes diff&eacute;rentes et sont g&eacute;n&eacute;ralement en liaison avec les r&eacute;seaux de distribution d'&eacute;lectricit&eacute; et d'eau. De ces liaisons, il ne peut r&eacute;sulter aucune responsabilit&eacute; pour le distributeur d'&eacute;lectricit&eacute; ni pour le distributeur d'eau ; c'est &agrave; l'usager de la prise de terre qu'il appartient de faire &eacute;tablir et maintenir son installation en conformit&eacute; avec l'ensemble des pr&eacute;sentes r&egrave;gles, ainsi que d'en faire v&eacute;rifier l'efficacit&eacute; comme il est pr&eacute;vu &agrave; l'article 278, l'usager ayant bien &eacute;videmment &agrave; s'entendre avec le propri&eacute;taire de l'immeuble pour ce qui concerne les canalisations collectives.<br> Il est indispensable que cette v&eacute;rification soit effectu&eacute;e non seulement &agrave; la mise en service puis p&eacute;riodiquement, mais aussi en cas de modification de la conduite souterraine, notamment lorsque certains de ses &eacute;l&eacute;ments sont remplac&eacute;s par d'autres susceptibles de ne pas convenir. Dans le cas o&ugrave; de telles modifications interviendraient sur le r&eacute;seau de distribution des eaux, le distributeur d&rsquo;eau entrera en liaison avec le distributeur d'&eacute;lectricit&eacute; et tous deux rechercheront en commun les mesures appropri&eacute;es qui seront<br> port&eacute;es &agrave; la connaissance de leurs abonn&eacute;s. Si ces modifications portent seulement sur les conduites d'un immeuble, le propri&eacute;taire sur l'avis de l'entrepreneur de plomberie, sera tenu de faire ex&eacute;cuter les modifications n&eacute;cessaires par l'installateur &eacute;lectricien. C'est pour qu'aucun des int&eacute;ress&eacute;s connaisse l'usage particulier qui est fait de la conduite et agisse en cons&eacute;quence que des plaques de mise en garde sont appos&eacute;es.</p> <p>ART. 185. <em>- Prises de terre constitu&eacute;es par des &eacute;l&eacute;ments m&eacute;talliques enfouis dans le sol.</em><br> Les prises de terre ne doivent jamais &ecirc;tre constitu&eacute;es par une pi&egrave;ce m&eacute;tallique simplement plong&eacute;e dans l'eau.<br> Elles doivent &ecirc;tre enfouies dans des terrains aussi humides que possible et de pr&eacute;f&eacute;rence dans de la terre v&eacute;g&eacute;tale. Elles doivent &ecirc;tre tenues &agrave; distance des d&eacute;p&ocirc;ts ou infiltrations pouvant les corroder (fumier, purin, produits chimiques, coke, m&acirc;chefer, etc.) et &ecirc;tre install&eacute;es, si possible, en dehors des passages de pi&eacute;tons et de v&eacute;hicules.<br> Si les prises de terre sont constitu&eacute;es par des plaques, on &eacute;vitera autant que possible de placer ces plaques horizontalement, car le tassement des terres peut avoir pour cons&eacute;quence, lorsque les plaques de terre sont horizontales, une diminution de la surface de contact et un accroissement de r&eacute;sistance.</p> <p><strong>Canalisations de terre</strong></p> <p>ART. 1 86. <em>- Consistance des canalisations de terre.</em><br> Les canalisations de terre sont destin&eacute;es &agrave; relier &agrave; la ou aux prises de terre les masses m&eacute;talliques qu'il y a lieu de mettre &agrave; la terre.<br> Elles peuvent se r&eacute;duire &agrave; une simple ligne de terre ou comporter une ligne principale et des d&eacute;rivations.<br> Toutefois, dans le cas o&ugrave; l'on emploie comme prise de terre celle du conducteur neutre, les canalisations de terre se confondent avec ce conducteur et ne sont pas soumises aux r&egrave;gles des articles 188 &agrave; 190.</p> <p>ART. 187. - <em>Choix des conducteurs.</em><br> Les canalisations de terre doivent &ecirc;tre en cuivre et avoir des sections proportionn&eacute;es aux courants qui peuvent les traverser en cas de d&eacute;faut d'isolation. Abstraction faite des conditions qu'impose leur conservation et qui font l'objet de l'article suivant, les canalisations de terre doivent avoir au moins les sections d&eacute;finies ci-dessous :<br> 1&deg;) Lignes principales 28 mm&sup2;.<br> 2&deg;) D&eacute;rivations et simples lignes de terre :<br> a) Si elles sont &eacute;tablies en conducteurs nus 14 mm&sup2;.<br> b) Si elles sont &eacute;tablies en conducteurs isol&eacute;s<br> et pos&eacute;s comme les conducteurs d'alimentation :<br> lorsque ceux-ci ont une section sup&eacute;rieure &agrave; 14 mm&sup2; 14 mm&sup2;.<br> lorsque ceux-ci ont une section n&rsquo;exc&eacute;dant pas 14 mm&sup2; m&ecirc;me section que les conducteurs d&rsquo;alimentation.<br> Il n'y a pas lieu de prendre des sections sup&eacute;rieures &agrave; ces minima dans les installations qui sont aliment&eacute;es par un r&eacute;seau public de distribution d'&eacute;nergie de premi&egrave;re cat&eacute;gorie et dont la puissance souscrite n'exc&egrave;de pas 10 kVA.<br> Les dispositions pr&eacute;c&eacute;dentes ne s'opposent pas &agrave; l'insertion en s&eacute;rie avec la canalisation de terre, d'un enroulement faisant partie du dispositif de s&eacute;curit&eacute; vis&eacute; &agrave; l'article 181, m&ecirc;me si cet enroulement a une moindre section que celles prescrites dessus.<br> Toutefois, lorsque les d&eacute;rivations et simples lignes de terre sont &eacute;tablies en conducteurs isol&eacute;s et pos&eacute;s comme les conducteurs d'alimentation, il est admis que leurs sections soient moindres qu'il est sp&eacute;cifi&eacute; ci-dessus, pourvu qu'elles soient proportionn&eacute;es au courant mis en &oelig;uvre dans l'enroulement susvis&eacute; et au moins &eacute;gales &agrave; la plus petite section<br> admise pour le mode de pose utilis&eacute;.</p> <p>ART. 188. <em>- Conservation. - </em>Les conducteurs des canalisations de terre doivent &ecirc;tre install&eacute;s &agrave; l'abri des d&eacute;t&eacute;riorations m&eacute;caniques et chimiques. Si une partie de la ligne de terre se trouve enfouie dans le sol, elle doit avoir une section d'au moins 28 mm&sup2; et &ecirc;tre<br> prot&eacute;g&eacute;e efficacement contre l'action destructive m&eacute;canique et chimique de ce milieu.<br> Les connexions de la canalisation de terre avec la prise de terre doivent &ecirc;tre faites de<br> mani&egrave;re &agrave; ne pas risquer de se desserrer ou de se d&eacute;tacher et &agrave; &eacute;viter toute d&eacute;t&eacute;rioration<br> par effet &eacute;lectrochimique.<br> En particulier, si l'&eacute;lectrode et le conducteur de terre sont constitu&eacute;s par des m&eacute;taux<br> diff&eacute;rents, des pr&eacute;cautions sp&eacute;ciales doivent &ecirc;tre prises pour &eacute;viter la destruction de la<br> jonction. A cet effet, on peut, par exemple, recouvrir cette jonction d'un enduit<br> protecteur efficace.<br> <em>(DOPSY95)</em></p> <p><em>&nbsp;</em></p> <p align="center" class="sous_titre"><strong>S O T T I S I E R</strong></p> <p><u class="g_12_bleu">Dans un proc&egrave;s-verbal de r&eacute;union de commission de s&eacute;curit&eacute; communale de province :</u><br> Proposition de fermeture administrative d'un magasin de confection, am&eacute;nag&eacute; en 1992 et pouvant recevoir 220<br> personnes ... les jours de solde, pour notamment :<br> &laquo; ... absence d'issues de secours et absence d'alarme de type 4 &raquo;.<br> Or, l'issue &laquo; de secours &raquo;, lorsqu'il y a deux sorties normales (pour 220 personnes), concerne uniquement<br> l'exploitant (cf art. CO 34, &sect; 2 du r&egrave;glement de s&eacute;curit&eacute; du 25 juin 1980), et l'alarme du type 4 est constitu&eacute;e de<br> &laquo; tout dispositif de diffusion sonore &raquo; (cf art. MS 65 ancien ), &agrave; partir de la cloche et du sifflet !<br> L'arr&ecirc;t&eacute; de fermeture a &eacute;t&eacute; soumis au Tribunal administratif pour non motivation, selon article GN 11<br> dudit r&egrave;glement, et pour erreur manifeste d'appr&eacute;ciation du risque et abus de pouvoir, le r&egrave;glement de s&eacute;curit&eacute;<br> n'&eacute;tant cit&eacute; ni dans le PV, ni dans l'arr&ecirc;t&eacute; du maire.<br> Folklore portant pr&eacute;judice.</p> <p><u class="g_12_bleu">Dans &laquo; Alpes Magazine &raquo; - n&deg; 57, p. 75 :</u><br> Article sur le duc de Lesdigui&egrave;res ( Ch&acirc;teau de Vizille ) :<br> ... il quitte sa famille, et s'engage, &agrave; 17 ans, comme archet aupr&egrave;s du seigneur de Gordes.<br> (C'&eacute;tait un jeune qui connaissait la musique)</p> <p><u class="g_12_bleu">Sur une t&ecirc;te de lettre :</u><br> ... avenue Elys&eacute;es Reclus<br> (Comme les chants de Memnon ?)</p> <p><u class="g_12_bleu">Publicit&eacute; pour une eau min&eacute;rale naturelle :</u> <br> Bouteille en PE T recyclable.<br> ... &eacute;chelonnez en douceur le paiement de vos achats<br> (Tout un programme naturel ! )</p> <p><u class="g_12_bleu">Dans la lettre d'un Conseil :</u><br> ...Ma cliente me signale qu'elle est victime d'humidit&eacute;, humidit&eacute; qui provoque l'apparition de cloques au niveau de<br> ses parties privatives.<br> (Comme on disait vulgairement au d&eacute;but du si&egrave;cle, c'est une femme en cloque)</p> <p><u class="g_12_bleu">Dans la jurisprudence du Moniteur - 2-7-1999, p. 43 :</u><br> ... un conteneur &agrave; ordures dans lequel les habitants venaient d&eacute;placer des d&eacute;chets m&eacute;nagers &hellip;<br> (Cela se passe en France et non &agrave; Madagascar ou en Chine )<br> Pancarte sur une plage de naturistes de la C&ocirc;te d'Azur :<br> &laquo; L'exhibition sexuelle impos&eacute;e &agrave; la vue d'autrui dans un lieu accessible au regard du public constitue une<br> infraction aux lois en vigueur &raquo;.<br> ( C'est la covisibilit&eacute; des monuments class&eacute;s ou la cr&eacute;ation des LARP = lieux accessibles au regard du public ? )</p> <p><u class="g_12_bleu">Dans un devis d'entrepreneur :</u><br> &laquo; Ventilations parkings compris v&eacute;hicules pour VH et VB, compris d&eacute;voiement. Caniveaux bois de rampe &raquo;.<br> (... On est en pleine main-courante ! )<br> Dans une lettre d'un architecte :<br> ... Monsieur S., Pr&eacute;sident du Conseil syndical, qui pr&eacute;cise un vis ( sic ) cach&eacute; : &hellip; En effet, la pisette (re-sic) est<br> plac&eacute;e trop basse (celle-ci est plac&eacute;e pour r&eacute;pondre aux DTU de l'&eacute;tanch&eacute;it&eacute; des terrasses pl&acirc;tre (re-re-sic)<br> n&eacute;cessitant un trop-plein en cas de descente EP unique) &hellip;<br> (A techniques nouvelles, solutions nouvelles, surtout pour une pisette sur pl&acirc;tre )</p> <p><u class="g_12_bleu">Moniteur 3 septembre 1999, p. 338 :</u> <br> Homologation de norme relative au cycle de l'eau (NF EN 1979) :<br> &laquo; Syst&egrave;mes de canalisations et de gaines en mad&egrave;re plastique &raquo;.<br> (C&rsquo;est dur &agrave; avaler !)<br> Dans une chronique de jurisprudence du journal &laquo; Affiches parisiennes &raquo;</p> <p><u class="g_12_bleu">- num&eacute;ro 101 des 7 et 8 septembre 1999, p. 3 :</u> <br> ... Bref, le principe du contradictoire, le principe du dispositif et l'interdiction de l'ultra petite &eacute;taient froiss&eacute;s ...<br> (Elle a tout d'une grande !)<br> C'est b&ecirc;te, hein ? :<br> Cet &eacute;t&eacute;, un moteur de la grosse vedette de gendarmerie maritime de LEZARDRIEUX a pris feu en sortie de port,<br> au moment o&ugrave; ses occupants allaient contr&ocirc;ler les moyens de s&eacute;curit&eacute; r&eacute;glementaires des petits bateaux de<br> p&ecirc;cheurs-plaisanciers.<br> Ces derniers n'ont pas souffert de l'incendie qui a n&eacute;cessit&eacute; l'intervention des sapeurs-pompiers, du secours en mer<br> et de la vedette des douanes... pour la remorquer jusqu'&agrave; son port d'attache .<br> A EUROPE 1 - Informations de 12 H :<br> ... Le canot pneumatique de sauvetage sera pass&eacute; au crible...<br> (On pourrait aussi le concasser ?)</p> <p><u class="g_12_bleu">Dans un devis d'un entrepreneur sp&eacute;cialis&eacute; :</u><br> ... R&eacute;fection des joints de dilatation &agrave; l'identique - PAX ALU.<br> (et vobiscum !)<br> ... Mise en place de b&acirc;tards d'eau pour recherche de fuites.<br> (animaux aquatiques, probablement d&eacute;riv&eacute;s du rat d'&eacute;gout !)<br> Dans un catalogue d'accastillage USHIP :<br> Tuyau sp&eacute;cial WC - PVC alimentaire.<br> (Est-ce bien n&eacute;cessaire ?)</p> <p><u class="g_12_bleu">Moniteur ler octobre 1999, p. 413 :</u><br> R&eacute;glementation de la mise en &oelig;uvre de la pr&eacute;containte ext&eacute;rieure<br> (C'est au Qu&eacute;bec ?)</p> <p><u class="g_12_bleu">Sur France 2, le 11 octobre 1999, &agrave; 8 H 20 :</u><br> Emission m&eacute;dicale sur la rhinopharingite, maladie qui int&eacute;resse, d'apr&egrave;s un tableau : &laquo; &hellip; les fausses nasales &raquo;.<br> (Les vrais sont des fosses !)<br> ... Remercions les confr&egrave;res qui alimentent cette rubrique .... </p> <p align="right"><a href="#haut" target="page">haut de page</a> </p></td> </tr> </table> <p>&nbsp;</p> </body>

dropsy_95.txt · Dernière modification: 2020/05/11 16:29 (modification externe)